Monsieur Macron, vous avez dit, il y a de cela quelques jours, que votre seule boussole était de protéger les Français. Mais votre boussole indique aussi le Nord et le Sud de l’Ukraine.
À partir de la Moldavie, il faut agir mais sans se faire connaître. Il faut commencer par la destruction du pont qui réunit la Crimée à la Russie. Il faut prendre à revers les troupes situées en Crimée, quitte à rayer la Crimée de la planète. Toujours à revers, il faut reprendre une par une les villes et les ports qui se trouvent sur la mer Noire après avoir détruit la totalité du port russe qui s’y trouve.
De grâce, Monsieur le Président Macron, pas de demi-mesures, pas de sentiments. La guerre c’est la guerre et pendant la guerre, la stratégie est la meilleure des armes.
La défaite de l’armée russe en Crimée, l’impossibilité de la ravitailler par le pont qui sera détruit, donnera à Monsieur Poutine le signe de sa fin.
Il n’est pas exclu non plus que l’on aide d’une manière très forte, à partir de l’Allemagne, la frontière polonaise avec l’Ukraine, afin de desserrer l’étau de Kiev.
Il ne faut pas hésiter, une seule seconde, à détruire toutes les bases militaires se trouvant en Biélorussie. La Biélorussie est aussi dirigée par un dictateur qui n’a pas hésité à chasser la démocratie. Je n’hésiterais pas une seconde à neutraliser la frontière de la Biélorussie avec l’Ukraine, par tous les moyens, nucléaires et autres. Une fois pour toute, il faut mettre fin à la folie des dictateurs.
La retraite
Se battre comme des chiffonniers sur l’âge de la retraite est vraiment d’une autre époque.
Demain, la durée de vie dépassera les cent-vingt ans en moyenne et tout le monde sera en pleine forme. Ce n’est pas l’âge de la retraite qui importera, c’est la capacité, ou pas, de pouvoir travailler dix ou vingt ans de plus.
Il ne faut pas non plus que la retraite devienne un mouroir. Nous devons faire en sorte que l’on puisse vivre la retraite en pleine forme et non dans des EHPAD.
Je sais ce que vous allez me dire : vous allez dire que le fou a parlé. Mais si ce fou n’était pas aussi fou que vous de dites et que ce visionnaire ait peut-être vu les choses avant tout le monde et avoir trouvé les moyens de se débarrasser des cancers et des virus ?
À ce jour, aucun scientifique n’y est parvenu ; alors, pourquoi ne pas accepter une solution que personne ne peut détruire.
Une solution qui aura eu, au moins, le mérite de poser la question et d’apporter la solution.
Oui, ne perdons pas notre temps à creuser les tombes de nos personnes dites âgées. Faisons en sorte qu’elles puissent vivre.
Ce que je propose est si simple que je peux m’engager à réaliser ce que j’ai découvert.
Une retraite en pleine forme, ne pensez-vous pas que ce serait merveilleux ? J’ai donné les causes et les solutions, il faut maintenant passer outre le dictat des scientifiques et réaliser ce bonheur pour tous.
On nous dit qu’on ne fait plus assez d’enfants : c’est vrai. Mais moi je vous dis que l’on peut aussi prolonger la vie. Pour ce faire, il faut partir du principe qu’éviter est préférable à soigner, que les hôpitaux sont là pour soigner un mal par accident et non par épidémie.
À un moment où l’humanité toute entière regarde ce qui se passe en Ukraine, à un moment donné où la folie d’un homme est capable de détruire une partie de l‘humanité, je propose la solution de prolonger la vie, en pleine forme.