La pollution, c’est l’affaire du Premier Ministre. Le réchauffement climatique, c’est votre affaire Monsieur MACRON.
Débutons par la pollution
La pollution, c’est le résultat de nos actes du quotidien. On parle souvent à cet égard des gaz à effet de serre. Seules, les émissions de gaz à effet de serre sont inoffensives. Ils sont en revanche l’accélérateur du réchauffement climatique.
Mais attention ! Les gaz à effet de serre proviennent à 90% de nos bois et de nos forêts par la décomposition des feuilles et autres végétaux. En fait, c’est la nature qui est la plus forte productrice, et ne pouvons et nous ne devons pas la combattre. C’est un processus tout à fait naturel. En tout cas nous n’avons pas encore rencontré d’écologistes assez fanatiques pour en incriminer la nature ! Alors arrêtons là les tergiversations sur les gaz à effet de serre et revenons à la réalité de la situation climatique.
Contre le réchauffement climatique nous vous attendons toujours avec de vraies solutions
Le réchauffement climatique ne provient pas de chez nous, ni de l’Europe, ni de la Russie. Le réchauffement climatique provient exclusivement de la progression des déserts et du principal d’entre eux : le Sahara.
Mentir à la Nation sur cette question ne fera jamais de vous, Monsieur Macron, un homme admiré.
Michel Leclerc
Nous ne pouvons pas mettre des barreaux pour nous protéger de cet envahisseur qui avance à grand pas. En revanche, nous pouvons – vous pouvez – décider de nous attaquer à la source du problème en remettant en cultures les déserts, à raison de 2 millions de km². C’est deux fois la taille de l’Égypte pour vous donner une échelle.
Il va falloir financer
Il faut dire aux peuples riches que pour survivre au réchauffement climatique, qui à présent s’accélère, il faut accepter d’y consacrer plusieurs points de PIB, c’est-à-dire 100 milliards d’euros pendant 20 ans, soit de 2019 à 2039.
- Tout ceci représente 250 € par an et par Européen.
- 250 € par an et par Européen, ce n’est pas cher payer pour survivre.
Avec 100 milliards par an, on pourra remettre en cultures les 100 000 km² par an dont nous avons besoin pour stopper la fournaise, répartis sur 20 pays autour du Sahara, soit 5 000 km² par pays, en moyenne.
Oui c’est énorme et pourtant vous avez la possibilité d’agir
C’est énorme, mais c’est l’objectif qu’il faut se donner. Pour réaliser cet objectif, 10 millions d’hommes seront nécessaires pour la culture et au moins autant pour la fabrication et l’entretien des matériaux et aussi la mise en place des sources d’énergie, auxquels il faut ajouter les réseaux de commercialisation et de vente dans les pays africains, bien sûr, mais aussi et surtout vers l’Europe.
Les cultures pourront constituer ce qui est nécessaire à l’alimentation du bétail mais aussi à celui des hommes ; ce pourrait être des fleurs, des fruits et toutes sortes de production agricole.
Sur les 100 milliards nécessaires, 2 milliards devraient être consacrés à la construction de réseaux ferrés en ligne verticale, c’est-à-dire de Johannesburg au Delta de Gibraltar, afin de le connecter aux réseaux européens.
Ces réseaux devront être des réseaux à grande vitesse afin de pouvoir transférer aussi les produits frais vers l’Europe, en moins de 30 heures.
Il faut aussi se rappeler que la population africaine progressera pour atteindre 2 milliards d’habitants en 2050. Ce sont les statistiques officielles. Nous européens, nous avons le devoir d’aider cette population sur place et lui assurer des débouchés.
Les solutions ne sont pas nombreuses pour financer. Il faut revoir le contrat avec les français en supprimant les cotisations sociales des salaires et en réaffectant ces montants au budget de l’Etat. Nous avons précisé comment ces 840 milliards déplacés permettait d’augmenter le pouvoir d’achat des français et dégageaient les sommes nécessaires à la contribution de la France à la lutte contre les déserts. Il faut agir maintenant. Rapidement.
Une fois encore, ne cherchons pas à régler le problème avec des demi-mesures mais allons chercher la cause pour éteindre le feu qui va rapidement nous envahir si nous ne faisons pas le nécessaire.