C’est le virus qui a pris ses quartiers dans tous les espaces froids ou réfrigérés.
Comme tous les Grand-Monsieur, il possède différents costumes, celui de ses sorties en soirée, celui du travail.
Nous sommes nombreux à vouloir l’arrêter sur son chemin. Soit en mettant des masques, soit en utilisant des vaccins, du gel ou en se lavant les mains. Tout cela, c’est de la défensive. Plus que jamais, c’est l’offensive qui permettra de le détruire. Mais, comme toujours, on préfère la défensive à l’offensive…
Quel que soit le vaccin, il ne tuera pas le virus. Il arrêtera simplement le développement d’une infection et cela reste du médical.
Ce que l’ingénieur propose, c’est de lui interdire l’espace de l’homme. En le détruisant là où il se trouve, là où il a pris ses quartiers, hiver comme été.
En été, le soleil détruit le virus, il en tue par milliards, il en tue plus vite qu’il ne se développe. Le résultat : le virus est un être vivant qui va retourner dans ses quartiers, à l’abri du soleil, pendant tout l’été. C’est donc là où l’on plus facilement le tuer.
C’est ainsi qu’on constate qu’en été le nombre de cas d’infections est réduit à sa plus simple expression.
Il en est de même dans tous les pays du monde.
De plus, là où il y très peu de chambres réfrigérées, là où le virus ne peut pas se réfugier, on constate qu’il y a très peu de cas de contaminations enregistrées, et tout spécialement en Afrique Centrale.
En conclusion, on pourrait dire tout simplement que les pays dits développés développent aussi le virus, en été comme en hiver.
Alors, l’ingénieur que je suis dit à Monsieur Froid que nous allons le tuer là où il vit, là où il se cache, là où il a pris ses quartiers. Et ce, quel que soit le costume qu’il aura adopté.
Nous savons ce que redoute Monsieur Froid et qu’il ne supporte pas, les rayons ultraviolets et c’est la chaleur.
« Monsieur Froid, vos jours sont comptés car le bon sens finira par triompher ».