Dire que l’on met le paquet en fabriquant de la monnaie et donc de la dette, est une trahison qui coûtera cher aux Français.
J’aurais préféré que notre Premier Ministre nous dise qu’il va mettre le paquet pour tuer le virus. Hélas, ce n’est pas dans la logique de notre gouvernement.
Ce n’est pas en créant des vaccins qu’on donnera aux Français une meilleure santé. Là encore, on fait un mauvais calcul car il n’est pas certain que les conséquences d’un vaccin tueront moins de Français que le virus lui-même.
Y aura-t-il un jour un dirigeant qui saura faire les comptes, que ce soit les comptes financiers, que ce soit les comptes en matière de santé ?
On a l’impression qu’on joue avec notre santé comme on joue à la roulette russe. Car c’est bien de cela qu’il s’agit.
Aujourd’hui, 80% de nos produits sanitaires sont fabriqués en Chine.
Aujourd’hui, 80% de nos produits sanitaires sont fabriqués en Chine. S’est-on seulement posé la question : la Chine est-elle aussi sûre qu’on le dit, aussi prudente qu’on le dit ? N’y a-t-il pas, de la part des Chinois, l’idée de créer une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes ?
Je pense que les vaccins envisagés représentent une supercherie. On nous dit que les techniques modernes permettent de fabriquer rapidement un vaccin mais sommes-nous certains que ce vaccin sera, je dirai presque « un petit peu » efficace ? On n’a même pas cette assurance.
Monsieur le Premier Ministre, si on avait mis le dixième de ce que vous dépensez pour mettre fin à cette pandémie, en utilisant des moyens naturels tels que la désinfection généralisée, l’utilisation de rayons ultraviolets et l’obligation de respirer un air ambiant à 30°, voire plus, on ne parlerait plus depuis longtemps du virus.
Non, on a choisi de soigner le virus mais pas la maladie, le virus !
Non, on a choisi de soigner le virus mais pas la maladie, le virus ! On dirait qu’on voudrait entretenir ce virus alors qu’il faut le tuer comme tout occupant. C’était beaucoup plus simple, mais on a choisi le compliqué et pourquoi, et pour qui ? Simplement pour enrichir les laboratoires qui ont fait flamber les cours en Bourse tout en prenant l’argent des Français ; comme s’ils en avaient déjà de trop !
Mettre le paquet pour apporter de la misère et ne pas aboutir à donner aux Français une meilleure santé, est vraiment inutile.
Ne prenez pas ce risque-là ; il ne fera qu’entraîner d’immenses problèmes économiques que vous ne parviendrait pas à endiguer.
Vous n’écoutez pas.
Certains professeurs vous le crient à haute voix, vous l’écrivent même, mais vous n’écoutez pas. Vous n’écoutez que les scientifiques qui ont déjà perdu la bataille.
Reprenez-vous, Monsieur, et donnez à la France ce qu’elle mérite, c’est-à-dire une vie en pleine forme en supprimant les virus et toutes les grandes maladies.
Vaste programme, Monsieur le Premier Ministre, mais quelle noblesse. C’est ce que l’on appelle faire du gaullisme.
N’ayez pas peur de prendre des risques. Les risques font grandir l’homme et, en même temps, vous rétablirez l’adage qu’il n’y a pas une bonne économie sans une bonne santé.