L’Ukraine vaincra avec l’appui militaire et financier de l’Occident mais aussi grâce à son génie de produire des armes tout aussi performantes que celles de l’Occident.
La Russie en a bien conscience car aujourd’hui l’Ukraine détruit des terminaux de carburant ou de gaz ainsi que des bases militaires, à plus de 2 000 km de sa frontière.
D’autre part, les Russes sont blasés de cette guerre. A présent, ils ont trop souvent besoin d’aller se protéger quand les sirènes retentissent.
Les Etats-Unis vont avoir un nouveau président, ou plutôt une nouvelle présidente, une femme dont la puissance intellectuelle et physique ne fait pas défaut. Elle évite le bluff et s’exprime sur tous les sujets importants en leur apportant une solution.
Kamala Harris est aujourd’hui dans les sondages à 48,5% et Donald Trump à 46. L’Amérique veut travailler en paix et vivre dans de bonnes conditions sociales. Elle peut se passer d’importation de pétrole.
En, Amérique, le business est roi mais pas spéculatif. On utilise l’argent quand on a besoin. Ce n’est pas la même chose qu’en Europe où la spéculation règne en maître.
Le monde est en feu : il y a la guerre en Ukraine, il y a la guerre au Moyen-Orient, il y a la guerre en Afrique et la Chine veut la guerre à Taïwan en encerclant l’île comme un blocus.
La France va devoir sortir de l’ordinaire et utiliser tous les atouts dont elle est dotée à présent.
Ce n’est pas dans 50 ans que l’on verra les solutions de santé que je propose.
C’est dans moins d’un an pour affiner cette découverte et moins de trois mois pour pallier les souffrances et surtout pour éviter de nouveaux malades et interrompre les maladies en cours.
Oui, le constructeur mettra un certain délai pour produire un million d’appareils, chaque année. Qu’à cela ne tienne, on pourra aussi construire des usines ou utiliser celles qui ferment, dans l’automobile par exemple, pour produire massivement.
Le régulateur possède une technologie si simple que n’importe quelle usine pourra le construire.
Il est urgent, Monsieur le Premier Ministre, que le coût de cet appareil soit pris en charge, partiellement ou totalement, par la Sécurité Sociale à qui nous ferons gagner 300 milliards chaque année.
Oui, c’est un défi que je lance à tous ceux qui nous gouvernent.
Il n’y a pas un seul médecin digne de ce nom qui s’y opposera.
Monsieur le Premier Ministre, vous plus que tout autre, savez que ce sera nécessaire pour redonner à la France sa puissance physique, financière et sociale.
Ne soyons pas de ceux qui pensent qu’on résoudra le problème avec des médicaments, que ce soient des maladies physiques ou mentales.
Comme le disait le Général de Gaulle, « l’important n’est pas de sortir de Polytechnique mais de sortir de l’ordinaire », agissons en ce sens.
Nous devons dompter la nature dans nos lieux de vie ou d’éducation, ou de travail.
La construction de ces appareils est en route à l’usine IES. Et les incrédules d’aujourd’hui diront demain que c’était évident.
Alors ne remettons pas à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui.
