L’Ukraine, ce qui est évident, n’est pas…

En Ukraine, tout ce qui est évident pour repousser la Russie l’est aussi pour l’Occident. Mais c’est toujours un problème de finances.

Les Russes ont laissé un trésor à l’Occident, trésor qui a été saisi  par l’Occident qui voudrait bien le conserver alors qu’il ne doit servir qu’à financer la guerre en Ukraine. Cela est valable pour chaque Etat qui vend des armes et des munitions à l’Ukraine.

Nous sommes des lâches qui avons oublié la guerre de 39-45. Il est vrai que nous ne sommes plus très nombreux à l’avoir vécue. Et c’était pire que ce que l’on veut bien raconter aujourd’hui.

De grâce, aidons de toutes nos forces l’Ukraine, bouclier de notre liberté. Et la France aussi doit faire un effort, ou tout du moins les Français.

La mondialisation a rendu l’argent spéculatif. Et il est vrai qu’il vaut mieux vivre pauvre et libre que d’être riche sous la puissance massive des spéculateurs.

Je demeure optimiste car la vie de demain sera paradisiaque grâce au bon sens et à l’évidence des moyens qui éviteront une vieillesse, des maladies répétitives et qui permettront une très longue vie en pleine forme et en conservant sa jeunesse.

 

Premier Ministre ou médecin ?

Notre Premier Ministre devra-t-il être le médecin d’une nation malade ? Malade de son pouvoir d’achat, malade de ses retraites, ou sera-t-il le visionnaire qui apportera de nouvelles solutions aux causes visibles et invisibles qui rendent l’homme inapte au travail, à la production, à la productivité.

Le premier Ministre qui s’attaquera aux causes, gagnera l’admiration de tout le monde. Il faudra qu’il ose s’attaquer aux dérives de la nature. Beaucoup d’efforts ont été faits pour l’air, pour l’eau, pour la nourriture, et encore… mais on a oublié les constantes invisibles : les pressions atmosphériques, les flux magnétiques et le rayonnement solaire, qui tuent l’homme à petit feu.

Défendre le pouvoir d’achat ou s’occuper de la retraite, c’est très bien, mais c’est le chien qui se mord la queue.

Eviter les dérives naturelles de nos constantes est capital pour que l’homme puisse utiliser la totalité de ses capacités et très longtemps.

Cela résoudra le problème de la production, de la productivité et du pouvoir d’achat, sans compter que notre vie deviendra alors quelque peu paradisiaque.

« Vous délirez, Monsieur Leclerc ! ». Non, Messieurs, ce que j’ai découvert et ce que j’ai fabriqué permettra à l’homme d’avoir une autre vie, beaucoup plus longue et, du premier au dernier jour, en pleine forme.

Aujourd’hui, on laisse les pressions atmosphériques tuer  nos cellules en les privant d’oxygène alors que ces cellules mortes retournent dans le sang et, en se décomposant, émettent une substance nocive et délétère qui l’empoisonne.

Cette découverte mettra peut-être du temps à se répandre mais elle fournira une économie de montagnes d’or.

 

 

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