Son honneur, c’est d’avoir mis la vie au-dessus de l’argent mais cet honneur est anéanti par les corps intermédiaires de l’État.
A tout ordre donné, les corps intermédiaires attendent le contre-ordre : c’est la machine de l’État qui veut cela.
On donne l’ordre de tester et on met un an pour le réaliser. On donne un ordre pour vacciner et il faudra un an pour que toute la population française soit vaccinée.
Bafouer l’honneur du Président, c’est aussi bafouer l’honneur de la France.
J’ose espérer qu’il ne faille pas autant de temps pour appliquer la solution naturelle que je propose, qui est efficace à 100% et qui est évidente. Si l’on veut supprimer le virus, il faut commencer par l’empêcher de vivre et de se développer.
… Mais le médical défend son fonds de commerce.
Que ce soit le couvre-feu, que ce soit le confinement, le résultat ne pourra être au maximum de 50% de réduction des cas.
Tout simplement parce qu’on se met au chaud ; mais ce chaud-là ne suffit pas. On vit habituellement à 20° et il en faut 30, c’est-à-dire la chaleur de l’été, pour tuer le virus.
Ma politique est évidemment différente, elle n’est pas de soigner, elle est d’éviter.
Si notre Président continue à se décider en fonction des Conseils Scientifiques, alors il faudra apprendre à vivre avec le virus.
Mais je pense, tout de même, que le bon sens triomphera.
Il est difficile d’être Président.