Quand le philosophe Emmanuel Kant parle d’une hirondelle qui s’imagine
qu’elle volera mieux si l’air ne la gêne pas, et quand Jean d’Ormesson le
complète en disant « il n’est pas impossible que le temps soit pour nous ce que
l’air est pour l’hirondelle », nous en déduisons que les hirondelles vont
chercher les insectes quand les pressions sont hautes, à quelques centaines de
mètres de hauteur.
Et pourquoi les moustiques volent-ils si haut quand il y a des hautes
pressions ? Tout simplement car le poids de l’air est alors plus faible en altitude
qu’au niveau de la mer. Et quand les pressions deviennent très basses, les
hirondelles volent très bas parce que les moustiques supportent la pression de
l ‘air qui aura diminué.
Oui, réguler les pressions atmosphériques rendra le monde plus heureux : un
monde sans maladie, sans cancer, sans Alzheimer, sans Parkinson, sans
vieillesse et sans fatigue. Autrement dit : on vivra en pleine forme toute une vie
durant, beaucoup plus longue parce que plus rien ne portera atteinte à la vie
On conservera la totalité de nos facultés physiques et intellectuelles. La valise
Hygée évitera à l’homme de prendre de l’altitude et cela, en dormant, sans la
moindre contrainte et sans effets secondaires.
1013 millibars est la pression que peut supporter notre corps à 1 ou 2 % près.
Au-delà, c’est le désordre qui s’organise…
La responsabilité d’un Etat
La responsabilité d’un Etat est d’abord de préserver la vie de ses citoyens.
Le social est plus que nécessaire mais, sans une vie en pleine forme, il ne peut y
avoir de social.
Réformer les retraites, le social, c’est d’abord réformer notre système de vie et
de santé par le combat contre tout ce qui leur porte atteinte. Tout le reste n’est
que bricolage provisoire et sans intérêt majeur.
Le social ne peut, en aucun cas, dépendre du travail : ce sont deux institutions
différentes. Le social commence par la protection de la vie qui relève d’un
problème sanitaire et le sanitaire n’est pas d’arriver à soigner mais d’éviter
d’avoir à soigner.
Michel Leclerc – n° 20 – 24 Janvier 2023 – Parution le 29 janvier 2023
Le premier acte social, c’est de conserver notre vie plus longtemps et toute la
vie durant, en pleine forme. Les maladies, quelles qu’elles soient, la vieillesse,
la peur qui, toutes, commencent dès la naissance, doivent être éradiquées,
stoppées.
Ma solution s’adresse autant à la jeunesse qu’aux personnes âgées de 50 à 80
ans : il n’est jamais trop tard pour protéger sa vie.
Et ce que j’offre est totalement naturel.
