Les études pour le doctorat en médecine générale sont beaucoup trop longues et ne devraient pas dépasser 4 ans.
Qu’une spécialisation nécessite un an de plus serait raisonnable.
La médecine de demain sera une médecine mécanique basée sur des causes qu’il faudra éradiquer ou réguler par des techniques mécaniques.
Le médecin aura pour mission de détecter un mauvais fonctionnement d’une technique extérieure au corps humain et qui n’aura pas bien fonctionnée ou qui sera simplement défectueuse. Il faudra la réparer ou faire un échange standard.
Il va falloir éviter les maladies et éviter aussi la multitude de médicaments, souvent dangereux, sans résultat probant pour le patient mais très enrichissants pour les laboratoires.
La médecine est sous l’influence pharmaceutique et est dépassée dans 80% des cas. Elle est parfois utile pour gagner du temps sur le temps mais trop souvent inutile pour supprimer les causes.
De plus, cette machine humaine supporte mal que l’on trouble son fonctionnement. Dans 80% des cas, le trouble provient des médicaments néfastes qui arrivent à affaiblir la machine. Sa déficience ne provient uniquement que des effets de la nature et de ses dérives. Et l’on voit apparaître la fatigue et la vieillesse qui conduisent à une mort précoce et inutile.
Le médecin d’aujourd’hui est limité au constat des causes qui devront être éradiquées et régulées par des techniciens et non par un médecin.
Aujourd’hui, le médecin se sert de techniques électriques, mécaniques ou électroniques et doit se contenter de constater les troubles. Les techniciens de demain auront pour but d’éviter d’avoir à établir un constat et de redonner à l’homme sa puissance et sa longévité, en pleine forme.
Cette solution concerne une forme physique et intellectuelle car le cerveau est souvent attaqué par les mêmes causes qui conduisent à des maladies telles qu’Alzheimer et Parkinson.
En fait, les causes ne sont pas du domaine de la médecine mais de celui des ingénieurs qui devront fabriquer le matériel nécessaire pour neutraliser les causes et en éviter les conséquences. C’est ce vers quoi doivent s’orienter les ingénieurs du matériel médical.
Quant à la recherche des causes, c’est dans la nature qu’on les trouve, dans la majorité des cas. Et ces causes ne sont pas du registre des médecins.
À ce jour, 80% des hospitalisations proviennent des grandes maladies, souvent durables. C’est donc aux techniciens et aux ingénieurs de se mettre au travail.
Le chirurgien se limitera à réparer les bielles de la mécanique osseuse, nerveuse, et les soupapes de sécurité tel que l’appendice ou encore l’action brutale émanant de l’extérieur du corps humain.
Au risque de me répéter, tout commence le jour de la naissance, fut-il embryonnaire car les véritables causes et les attaques sur le corps humain proviennent, dans l’immense majorité des cas, des dérives de la nature, y compris pour les virus.