Dire que les Etats-Unis sont une superpuissance ne relève pas de la réalité. La paix au Vietnam, en Corée, en Afghanistan, ne plaide pas en peur faveur.
On s’aperçoit que le nucléaire n’est plus un outil de guerre mais de dissuasion ; la guerre d’aujourd’hui se passe dans les airs avec des drones et des missiles et, au sol, avec des hommes.
Les Etats-Unis ont oublié la vie de tout un chacun, celle qui pourrait faire gagner les guerres.
Je n’ai pas vu, de toute ma vie, une réflexion, une étude solide, concernant la vie. Les Américains, comme les autres populations, se sont contentés de vivre moins longtemps qu’en France.
On constate qu’aucun médicament n’est parvenu à accroître la durée de vie. Les grandes maladies sont toujours là, les virus sont toujours là, et pourquoi ? Parce que notre corps perd 1% de sa défense immunitaire tous les ans et ne se trouve plus en force face à la nature.
On arrive à 50 ans et on n’a plus que 50% de nos défenses. Les Etats-Unis ont-ils trouvé la solution ? Non, j’ose espérer que la France franchira ce pas, un pas qui impose de faire face à une nature désinvolte par des variations naturelles telles que les pressions atmosphériques et les flux magnétiques. Ces deux éléments rongent l’homme jour après jour.
Ce ne sont pas les armes qui redonneront la vie. Que ce soient des F16, des Mirages ou autres, elles ont pour mission de tuer. On sait tuer mais on ne sait pas faire vivre, une autre vie, dans un autre monde : voilà la solution. Pour ce faire, il faut oser s’attaquer aux éléments de la nature en les régulant.
L’attitude de Monsieur Trump qui veut tout bouleverser n’est rien à côté de ce que l’on pourrait faire en régulant les dérives de la nature.
Les Etats-Unis ont le dollar et l’on croit que c’est l’essentiel. Cela n’empêche pas les Etats-Unis d’avoir une dette de 36 000 milliards. Le dollar n’est qu’un papier, il suffit de l’imprimer, et la réalité est tout autre chose.
On veut nous faire croire qu’aux Etats-Unis, c’est le paradis, alors que c’est l’enfer. Que Monsieur Trump nous montre ce qu’il peut déjà faire chez lui, aux Etats-Unis, et après nous verrons ce qu’il est capable de faire sans la force, sans la guerre.
Ce qui se passe aujourd’hui en Ukraine n’est qu’une affaire d’argent où chacun veut s’approprier, non pas les Ukrainiens, mais le sous-sol de l’Ukraine.
Non, les Etats-Unis ne sont pas une superpuissance, même pas sur le plan technique. Jusqu’à ce jour, ils ont perdu le combat contre la nature ou plus exactement n’ont pas cherché à gagner cette bataille qui ferait de l’homme un homme heureux vivant sans maladie, sans vieillesse.
Alors, qu’on arrête de nous remplir les oreilles des bluffs de Monsieur Trump.
A-t-on le droit de refuser
Ce n’est pas avec des bataillons super équipés que l’on résoudra le problème de la vie. Les bataillons sont faits pour la détruire mais a-t-on le droit de refuser à nos enfants, à nos petits-enfants, à nos parents et à nous-mêmes, le droit d’une autre vie en pleine forme, sans maladie, sans vieillesse ?
On ne donnera pas le meilleur de nous-mêmes si nous n’agissons pas pour entrer dans un nouveau monde avec une santé qui permettra de faire durée la vie de chacun pendant des dizaines d’années supplémentaires.
Bien sûr, on me dira : « pourquoi rester sur cette terre dans les conditions actuelles ? ». Tout simplement parce qu’on n’a rien fait pour la protéger. Aujourd’hui on dépense des dizaines, voire des centaines de milliards pour une prétendue écologie mais que fait-on pour protéger notre vie ?
Ce n’est pas seulement protéger notre vie, mais une vie en pleine forme. Pourquoi n’y a-t-on pas pensé avant ? Il y a eu de grands chercheurs mais il semble qu’ils n’aient pas pris le bon chemin. On a pris le chemin médicamenteux au lieu simplement d’éviter à avoir à soigner.
Et si l’on doit parler de différentes maladies tel que le cancer, telle que l’arthrose, tel que le diabète et de multiples autres grandes maladies, nous en sommes au même point qu’il y a cent ans, parce qu’on n’a pas cherché les causes.
Elles sont là autour de nous, comme une meute de loups, prêtes à nous dévorer au point que nous perdions notre souffle, notre énergie.
Ne croyez-vous pas qu’il faille y remédier d’une autre manière. Ne croyez-vous pas que la vie vaille la peine d’être vécue et de n’être pas limitée à quelles années où le doute plane sans cesse, pire que la peur.