L’école, le collège, l’université, la formation continue… Toutes ces séquences de vie sont évidemment nécessaires mais sans une lueur d’espérance, une lueur d’avenir, le courage d’apprendre ne sera pas au rendez-vous si le travail n’est pas là.
Tous ces jeunes ne voient pas ceux qui travaillent, qui partent tous les matins au boulot. Leurs yeux sont fixés sur ceux qui ne travaillent pas et ils sont, avec les chômeurs, avec les pauvres, avec les retraités, plus de 20 millions.
Ce sont ceux-là qu’ils voient parce qu’ils sont toute la journée autour d’eux et le ressenti est terrible sur le moral de ces jeunes.
Combien pourront effectuer le travail qu’ils auront souhaité ?
Michel Leclerc : « Je dirai même que les professeurs sont inquiets. Voilà un climat désastreux pour notre jeunesse. Il faut rapidement remettre la France au travail. »
Ne pourrait-on pas pour tous et toutes, prendre une seule mesure qui permettra d’assurer l’avenir de tous par le travail ?
Le premier de cordé doit choisir le travail
Le travail, voilà ce qui doit être endossé aujourd’hui par le premier de cordée.
Oh ! bien sûr, il y a 150 à 200.000 emplois qui ne sont pas pourvus. Mais quels emplois ? Bien souvent en tous cas, pas pour celui auquel ils ont été préparés. Mais qu’est-ce que cela représente par rapport aux 4 millions de sans emploi ? Que de discours pour si peu. C’est un véritable enfumage.
Le bon sens c’est de créer des emplois par la demande, par les commandes, par le pouvoir d’achat ; et tout repose sur la clé de voûte : les charges patronales qu’il faut supprimer.
On parle sans cesse du travail : faut-il encore le créer et lui donner le moyen d’exister.
Oui, oui, ce sont 2 milliards de production supplémentaires par jour pour la France qui sont nécessaires et pour y parvenir il faut être compétitif par une baisse des coûts de 15%.
Une seule ordonnance permettra de supprimer la totalité des charges sur le travail.
Le CICE c’est bien mais c’est très peu et c’est trop lourd et c’est insuffisant. Je dirai même que c’est tout ou rien, car en agissant avec des demi-mesures, on ne parviendra pas aux résultats et, qui plus est, on affrontera les critiques.
En rétablissant notre balance commerciale à l’exportation, et en augmentant le pouvoir d’achat de 20%, nous arriverons aux résultats.
Mais pourquoi donc s’entêter sur ce point ? La hausse des ventes permettra à l’Etat de réaliser tous les plans préparés mais non financés.
Pourquoi tant de retenue quand tout le monde, tous les économistes le savent et le gouvernement aussi : il n’y a pas d’autre solution.
Certes, on entendra encore dire que c’est un cadeau aux patrons. Pourquoi cette haire ? car les patrons répercuteront immédiatement cette facilité financière sur les prix. Oui, une baisse de 15% des prix est nécessaire. Le cadeau sera ainsi aux acheteurs.
Certes, la TVA ou la CSG, ou les deux ensemble, devraient augmenter de 7 à 8%. Mais où est donc le problème ? Les Français savent bien compter, même quand il faut rallonger les leviers de 8% ; c’est peu par rapport aux 22% de pouvoir d’achat supplémentaires qu’ils pourront gagner.
En moins d’un an ; le taux de chômage sera tombé à 2 ou 3% et la pauvreté aura baissé de 50%. Notre endettement commencera à se réduire ou tout au moins, pendant un certain temps, se stabilisera.
Nous comptons sur vous Monsieur MACRON
Monsieur MACRON sera réélu sans difficulté, sans droite ni gauche, simplement pour la France car il y a là également une solution au travail détaché. La France sera devenue une France forte qui pourra prendre le leadership de la lutte contre le réchauffement climatique et notre vie sera protégée car la seule cause du réchauffement climatique, c’est l’extension des déserts.
Alors nos enfants seront fiers d’être à l’école, au collège ou à l’université, car ils apprendront ce que sera leur avenir, et bien souvent cela dépend de peu de choses.
Michel Leclerc : « Monsieur MACRON, qu’attendez-vous pour vous mettre au travail ? »
Faire des réformes n’est pas s’adapter, mais suivre un dogme!
Nous avons ce dogme que la relance économique par la hausse du pouvoir d’achat est la mère de toutes les autres réformes