Serions-nous devenus illusionnistes ?
Le tout-électrique :
- véhicule,
- chauffage,
- industrie,
Serait-il devenu une illusion !
En supposant que 90% des centrales nucléaires fonctionnent normalement, il manquera 50 % de KW pour tout faire fonctionner.
Oui, notre consommation électrique va être multipliée par 2,5 dans les années qui viennent.
Éoliennes, panneaux solaires, pourront peut-être produire 20% de nos besoins d’ici 2030 mais pas les 200 % nécessaires.
Nos centrales nucléaires électriques ne seront toutes en route que d’ici 30 ans.
Que va-t-on faire alors :
- on va nous demander de ralentir notre consommation électrique après nous avoir imposé le tout électrique ?
N’a-t-on pas mis la charrue avant les bœufs ?
Il ne reste qu’une seule solution :
- c’est la construction en usine de 4 à 5 000 mini centrales nucléaires au thorium, de quelques mégawatts, qui seront utilisées par quelques gros consommateurs, telles que les grandes usines, tout spécialement pour la fabrication d’aluminium.
Ces mini centrales n’auront plus de rupture importante ; elles pourront simplement être remplacées par échange standard de pièces que fournira l’usine.
En outre, ces mini centrales pourront être installées sous terre, à l’abri de toute attaque dont on voit aujourd’hui les risques en cas de guerre.
Elles pourront aussi alimenter toutes les villes, et le fait de produire là où l’on consomme évitera l’immense déperdition actuelle au travers d’une multitude de transformateurs et de lignes aériennes.
Pour parvenir à la solution, il faut déjà mettre fin au monopole de la production par l’EDF car, même si certaines éoliennes sont privées, leur production transite toujours par EDF.
La vente d’électricité par des privés est interdite.
Ils peuvent simplement la produire pour leur propre consommation.
Rien n’est donc perdu : il suffit d’un peu de bonne foi, de part et d’autre, pour résoudre le vrai problème.
Enfin, les mini centrales nucléaires nous rendront notre liberté d’approvisionnement car, aujourd’hui, nous sommes dépendants de l’uranium alors que le thorium se trouve partout en Occident et en Orient.
De plus, les déchets d’uranium pourront être neutralisés par les rayons lasers, découverte récente d’un prix Nobel.
Il ne faut jamais désespérer : il suffit, là comme ailleurs, de mettre fin au monopole
Casser le monopole de la santé, c’est quoi ?
Le monopole de la santé, c’est donner au monde médical pouvoir de vie sur les Français.
Casser le monopole, c’est laisser libre aux Français toute possibilité de choisir pour leur vie la solution qu’ils jugeront la meilleure.
Et la meilleure, c’est la solution naturelle qui rétablira, dans la norme, la cause de toutes leurs maladies car c’est une vie impossible, c’est une vie trop courte, trop jonchée de maladies et de virus.
Il n’est pas nécessaire, pour cela, d’être médecin ni chirurgien, ni un grand chercheur… qui ne trouve pas.
Oui, je veux donner la liberté aux médecins afin qu’ils ne soient plus assujettis, comme aujourd’hui, à l’Ordre des Médecins qui a pouvoir de vie ou de mort sur eux.
Ce sont des médecins qui, pour beaucoup d’entre eux, souhaiteraient pouvoir apporter leurs connaissances au service de l’homme et qui sont bridés par un ordre qui n’a plus sa place dans les conditions actuelles.
Certes, on ne confie pas sa vie à n’importe qui mais il faut que le Français ait le choix.
Aujourd’hui, s’il veut être remboursé, il faut une ordonnance. Demain, le bon sens voudra qu’il soit aussi remboursé quand il s’agira de sa propre vie et de tous les moyens qu’il aura choisis.
Bien sûr qu’il y a eu des avancées dans le monde médical mais le monopole a brisé la liberté de choix des Français ; ils doivent pouvoir choisir la solution qui leur paraît la meilleure sans, pour cela, être bridés.
Il en est de même pour les médecins ; ils doivent pouvoir apporter à leurs patients la meilleure solution.
Je ne cherche pas à supprimer les médecins mais simplement à leur rendre la liberté.
L’Etat s’est appuyé, jusqu’ici, sur le serment d’Hippocrate, mais le serment d’Hippocrate, c’est avant tout la liberté de choix du patient.
Libérer les médecins, c’est éviter 300 000 morts l’année.
Ils pourront, eux-aussi, par le bon sens, imposer l’utilisation d’Hygée, sans avoir à demander au Conseil de l’Ordre.
Hygée n’est qu’un outil, mais un outil indispensable pour assurer une circulation normale du sang dans nos micro vaisseaux et la vie de nos cellules.
Rétablir la circulation du sang ou, tout du moins, éviter toute rupture, n’est pas médical mais mathématique.
C’est exactement comme si on installait un radiateur pour se chauffer ou un climatiseur pour se rafraîchir.
Notre devoir à tous est de protéger notre propre vie. Laissons le choix aux Français.
