Dans le pire des cas, le coronavirus aura provoqué le décès d’une personne sur 50 000 habitants : ce n’est pas l’apocalypse.
Dans le meilleur des cas, le coronavirus aura provoqué la disparition d’une entreprise sur 10. C’est une catastrophe économique. Il faudra dix ans pour reformer le maillage avec ses emplois.
Ce qui est grave, ce n’est pas le fait du coronavirus, c’est simplement que nous sommes allés le chercher par la mondialisation, à bas prix en Chine.
Une guerre bactériologique, sans antidote prévu, peut produire sans déclaration de guerre, sans tambours ni trompettes, plus de dégâts qu’une guerre déclarée.
Et nous en sommes les acteurs par l’économie mais aussi avec le tourisme. La crise financière fera peut-être plus de morts que l’épiphénomène du coronavirus.
Nous connaissons le mal, nous savons que l’antidote ne pourra être que naturel et ce sont les scientifiques qui nous ont donné la solution. En découvrant les variations de la masse moléculaire de l’oxygène sous l’action de la chaleur, nous savons à présent ce qu’il faut faire pour tuer le virus par le réchauffement de l’oxygène que nous aspirons. C’est la solution.
Oui, il faut compenser l’absence de chaleur par une autre chaleur afin d’arrêter les variations de composition moléculaire de l’oxygène. Faut-il encore diffuser cet antidote en commençant par les personnes les plus fragiles et les plus âgées.
Le coronavirus aura disparu d’ici le 15 mai mais la crise économique mondiale qui a éclaté ne se résoudra pas d’un coup de baguette magique. Le coronavirus n’en est pas la cause, il n’en est que le déclencheur et ce sont les plus jeunes entreprises, petites et moyennes, qui en subiront les conséquences.
A la clef de tout cela, il va y avoir des milliers d’emplois qui vont disparaître, provisoirement.
L’Etat a fait des promesses mais il oublie de dire que ces promesses-là ne seront qu’une augmentation de la dette que chaque Français devra payer tôt ou tard. Ce seront donc tous les Français qui en subiront l’impact.
La crise financière était très attendue depuis plus d’un an mais on essayait sans cesse de la repousser par des actions plus qu’aléatoires et elle va continuer pendant encore plusieurs mois, voire plusieurs années, tellement le précipice est profond, un précipice qu’il va falloir remplir.
La gravité aujourd’hui n’est pas uniquement un problème de santé, mais c’est surtout un problème d’argent.
Les politiques regardent sans prendre leurs responsabilités. La crise économique, c’est bien de leur responsabilité, pour avoir choisi la facilité en tuant le travail.
Aujourd’hui il faut tout faire et tout mettre en œuvre pour assurer l’avenir car avenir, il y aura peut-être, avec un monde nouveau qui apparaîtra. En tout cas j’en suis convaincu. Un monde sans maladies, un monde pour une vie meilleure toujours en pleine forme.
Les Etats-Unis ont tourné le dos à l’Europe, agissons et profitons de l’occasion pour faire de l’euro une monnaie internationale. Ne laissons pas indéfiniment le dollar régir l’ensemble de nos économies.
Conservons notre indépendance et notre liberté et ne cherchons pas les virus à bas prix.