Le chaud, le froid, la pluie, la foudre, l’inondation, la température du corps, la
densité de l’oxygène dans le sang, une hémorragie, tout ceci, on a su, ou le
pallier ou le réguler.
On me dit que personne n’a cherché l’influence des pressions atmosphériques
sur notre corps et pourquoi ?
Les médecins m’ont dit : on n’y a pas pensé, et j’ai peine à le croire car :
– c’est notre défense immunitaire qui en dépend
– c’est un cancer qui en dépend
– ce sont les maladies d’Alzheimer et de Parkinson qui en dépendent
– ce sont nos grandes maladies de toute sorte qui en dépendent
– c’est notre force physique et intellectuelle qui en dépend
– c’est notre vieillesse qui en dépend
– c’est la durée de notre vie en pleine forme en dépend.
C’est l’objet de ma découverte qui mettra fin à cette dépendance par une
simple régulation des pressions atmosphériques durant notre sommeil. Ceci à
moindre coût.
Ce sera 100 milliards d’économie, chaque année, pour la Sécurité Sociale, ce
sera 200 milliards de production supplémentaire. Ce sera l’obligation de
poursuivre des études qui ne sont aujourd’hui que le prélude d’un savoir
toujours mis à jour.
Le travail et le corps
Dire que le travail use le corps humain sera devenu une aberration, demain.
Le corps humain ne s’use pas par le travail mais par la méconnaissance des
causes qui anéantissent 1% de notre capital santé, chaque année.
A peine né, on nous dit que l’on va vieillir ; c’est vrai dans les connaissances
actuelles car on ne s’en prend pas aux causes. On vieillit par défaut d’appliquer
des solutions techniques et mécaniques que l’on peut avoir à notre disposition.
On nous dit qu’un véhicule peut être dangereux mais on oublie de nous dire
que la nature est dangereuse et qu’elle nous écrase beaucoup plus qu’un
véhicule ne peut le faire.
C’est le monde de l’invisible que l’on se refuse à rendre visible et surtout à
pallier ses variations.