C’est probablement un « casse » de 100 000 milliards avec en prime la peur et près de 400 000 morts. Un casse bien construit, dans le seul but d’affaiblir toutes les nations occidentales.
Ce casse restera dans l’histoire. Il a réduit à néant les forces de défense nucléaire mais c’est aussi le casse de l’orgueil des nations occidentales qui ont beaucoup donné, beaucoup appris, à cette nation orientale qu’est la Chine.
Il faut se rappeler que c’est toujours ceux à qui l’on a beaucoup donné, que l’on trouve demain sur son chemin. C’est le cas de la Chine qui voudrait rattraper 50 ans de technologie. C’est une nation conquérante au pouvoir totalitaire mais qui a une ressource humaine et une source de travail incommensurables. Elle est tel un grand fleuve à la grande différence que ce fleuve veut inonder le monde.
La Chine a le droit à l’existence. C’est le Général de Gaulle qui l’a fait rentrer à l’ONU, mais ne soyons pas naïfs, les ambitions de la Chine sont tout autres et les temps ont bien changé.
Des nations qui travaillent, on en trouve, des nations qui veulent la paix, on en cherche. Ceci est un plagiait de la phrase du général de Gaulle qui disait « les chercheurs qui cherchent, on en trouve, les chercheurs qui trouvent, on en cherche ». Nous sommes dans le même scénario. Mais, je ne suis pas de Gaulle.
Toutefois, il n’est pas nécessaire d’être chercheur pour trouver. Et ces gens-là qui ne sont pas chercheurs et qui trouvent, sont mille fois plus nombreux. Je pense qu’il s’agit là du bon sens. Chercher sur ordre aboutit rarement à trouver car ils ne peuvent pas agir dans la voix qu’ils veulent. La seule raison des chercheurs, à ce jour, est commandée par l’argent.
Le casse de tout temps aura mis à genou les nations occidentales. Je crains que cela ne suffise pas, et pourtant il y va de notre indépendance, de notre liberté et de la paix dans le monde.
Ils nous ont envoyé un ballon d’essai, il faut renvoyer la balle en devenant aussi compétitifs que les Chinois. C’est cela la clef de notre indépendance et de notre liberté et nous pouvons le faire en protégeant le travail au service de notre indépendance et non du social qui doit être payé par tous, c’est-à-dire par l’Etat.
Supprimer toutes les charges qui pèsent sur le travail conduira inévitablement à une baisse des prix telle que nous serons tout proches des prix chinois, avec la qualité en plus et le service après-vente indispensable.
Il faut choisir :
la paix, la liberté, l’indépendance dépendent de cette réforme purement technique, une technique qui va remettre en cause la spéculation mais aussi tout le médical qui coûte chaque année près de 300 milliards à l’Etat, certes, par le jeu de cotisations. Mais ces cotisations doivent être transférées immédiatement sur le budget de l’Etat. Notre indépendance et la paix dans le monde y sont liées.