Mon erreur à moi c’est d’avoir fait confiance à la parole d’un homme qui s’était engagé à respecter l’œuvre que j’avais construite.
Cette œuvre, c’est la liberté funéraire, c’est le concept dans l’intérêt des familles.
Cette œuvre, je l’ai construite pierre par pierre, procès après procès. L’argent à abîmer ce chef-d’œuvre. Et quand une œuvre est défigurée, il n’y a que l’artiste qui puisse la réparer.
J’y mettrai le temps qu’il faut mais je redonnerai aux familles en deuil le respect qui leur est dû en ces circonstances. Et le respect, c’est la qualité des services qui seront rendus mais c’est surtout le prix qui sera donné car tout le monde n’est pas riche et, bien souvent, enterrer un des leurs met les familles dans des situations dramatiques.
Je ne me contenterai pas de réparer l’erreur que j’ai commise en vendant un réseau.
J’apporterai aux familles des techniques nouvelles, moins chères, plus écologiques, en ce qui concerne la crémation.
Au-delà de cette réparation, j’apporterai aux familles, aux Français et à l’humanité, le moyen de vivre plus longtemps et de ne plus avoir à supporter les dangers et les conséquences des virus et des cancers. C’est peut-être paradoxal pour un homme des pompes funèbres mais c’est mon vœu, c’est mon désir, ce sera mon action.
Tous ceux qui ont travaillé avec moi dans ce monde du funéraire ont parfaitement réussi, non seulement à vivre mais aussi à se préparer une bonne retraite.
Je ne suis pas médecin mais la médecine n’a pas le monopole de la vie de la même manière que l’État n’a plus le monopole du funéraire.
Alors, on me dira : dans combien de temps ? Cela ne dépendra que de vous qui nous faites confiance. Ce sera à vous d’imposer ce que je vous propose. On vous dira que c’est impossible. Il n’y a jamais rien d’impossible quand on le veut et, en tout cas, ce n’est pas l’argent spéculatif qui y parviendra. Ce sera l’argent du travail, de notre travail, de votre travail.
Faudra-t-il casser le monopole de la médecine pour apporter la vie ou simplement la conserver ? Bien sûr, il y a des éléments de la médecine, ou tout du moins qui se disent de la médecine, et qui se révèlent, en fait, être de la mécanique ou de l’électronique. On donne beaucoup trop de place à la médecine qui ne peut pas faire grand-chose aujourd’hui sans la mécanique ou l’électronique.
C’est vrai, il faut donner du temps au temps pour transformer une idée en une évidence et mon combat pour appliquer le réacteur social par ce que l’on appelle la TVA sociale, prendra jour tôt ou tard, ce qui permettra aux Français d’accroître leur pouvoir d’achat et à toute l’économie nationale de repartir, de redémarrer, d’acquérir la confiance des investisseurs mais surtout des acheteurs français.
Comme pour les pompes funèbres, comme pour le prix des carburants, on m‘a toujours dit que ce serait impossible.
Impossible de modifier quoi que ce soit parce que les puissances de l’argent faisaient barrage.
La médecine ne peut pas être un outil de spéculation. Bien sûr, tout travail mérite salaire mais il y a des abus inconsidérés, déloyaux, inacceptables, sous prétexte que c’est la Sécurité Sociale qui va payer. On a besoin de remettre de l’ordre dans tout ce dispositif social. Ce n’est pas celui qui travaille qui en bénéficie, c’est celui qui ne fait rien ou qui ne veut pas travailler.
On va me dire aussi que je veux changer le monde : pourquoi pas après tout ? Mais ce n’est pas moi qui vais changer le monde, je n’apporte que quelques petits éléments. C’est le peuple de France qui va changer et à cela personne ne pourra s’opposer.
Avoir été incapable d’arrêter la pandémie va coûter 1 000 milliards à la France sans être assuré du résultat final.
Vous comprendrez bien que cela ne peut pas durer.
J’entends tous les jours, mais vous, vous n’avez pas fait fortune ; mais si, car ce que j’ai fait restera et servira à d’autres. C’est pourquoi je vous dis clairement que toute erreur est réparable et ceux qui osent défigurer les œuvres des autres par l’argent qui ne leur appartient pas, devront payer la note, tôt ou tard et c’est le peuple de France qui va m’y aider.