Vouloir développer le stockage de l’énergie par des batteries n’est qu’un maillon supplémentaire et négatif pour la pollution. C’est une faute intellectuelle que d’investir des dizaines de milliards pour se faire, d’autant qu’elle nous rend dépendant d’autres nations.
La voiture à batterie n’aura pas d’avenir
Le taux de rendement de ce stockage par batterie est faible et coûtera en définitive plus cher au Km.
Utiliser des moteurs électriques sur des voitures peut être réalisable à condition de fabriquer l’énergie dans la voiture au travers de mini-centrales nucléaires comme le fait CADILLAC. Et cela est pour demain.
En attendant, la seule vraie solution est un moteur à hydrogène.
On veut nous faire jouer de la batterie, mais c’est du violon que l’on nous joue.
Il ne faut pas utiliser un produit ou un accessoire qui ne fera qu’accroître la pollution, et souvent beaucoup plus cher.
Demain, après l’utilisation de l’hydrogène pendant une période de plus ou moins dix ans, viendra l’utilisation du thorium à des prix divisés par dix au Km.
Aujourd’hui, on va consacrer plus de 100 milliards à essayer de mettre en place des systèmes avec batterie. On n’est pas sur la longueur d’onde nécessaire.
La voiture électrique à partir de batterie ne peut être qu’une solution très temporaire, de quelques mois, quelques années, et de même avec la pile à hydrogène. C’est une tromperie et l’on a toujours peur d’être à l’avant-garde.
Pour l’instant, le seul moyen de réduire la pollution et le prix du Km, n’est que l’hydrogène. Mais, la voiture de demain, dans moins de 10 ans sera la voiture qui produira sa propre énergie. Il est curieux que l’on ait toujours à avoir un train de retard.
Il faut aussi savoir que le poids des batteries et des moteurs électriques constituera un lourd handicap pour les voitures qui les utiliseront. Il faudra aussi penser que les batteries devront, tôt ou tard, être recyclées. Cela aura aussi un coût.
En fait, beaucoup de bruit pour rien et, comme toujours, cela fera peut-être marcher le commerce mais certainement pas la cagnotte des Français.
Je reste convaincu que, là encore, d’une part le moteur à l’hydrogène aujourd’hui, d’autre part l’utilisation du thorium demain, est le bon sens.