Le social n’est qu’un élément de la vie. La santé, la pleine forme, sont les éléments essentiels du social.
Le social doit protéger la vie et la vie doit apporter au social les éléments, les conditions, d’un social équitable et juste.
En France, les syndicats ne représentent qu’un pourcentage de salariés et très peu d’adhérents. Et pourtant, face à l’argent, il faudrait une force syndicale.
La cause de tout cela, c’est la politique. La politique est la mauvaise conseillère du social. Le social doit être au service des hommes et des femmes qu’il représente, de droite ou de gauche.
Mais, là encore, au sommet, il y a aussi l’argent et trop souvent l’adhérent ou le syndiqué n’est qu’une poussière dans ce mécanisme.
Si l’on veut faire du social en France, il faut commencer par le début, il faut réformer le système social. Une fois de plus, je dirai : le social, c’est l’affaire de l’État, le travail de l’homme, c’est l’affaire du travailleur.
Et ce n’est que par le travail que l’on résoudra nos problèmes mais seulement par un travail libéré de toutes ses charges et de tous les fardeaux de l’État.