Aujourd’hui, le judiciaire est devenu la terreur des politiques au pouvoir.
Les politiques qui sont au pouvoir ne devraient pas être soumis au judiciaire, sauf pour détournement de fonds.
Les décisions politiques d’un gouvernement et d’un Président n’ont pas à être soumises au judiciaire. Cette peur entrave le fonctionnement de l’Etat. Il faut donc modifier le système.
Aujourd’hui, par peur de ne pas avoir le résultat escompté, on ne prend plus de vraies décisions, on ne prend plus que des demi-mesures.
On se croit obligé, pour toutes les décisions importantes, qu’elles soient sanitaires ou économiques, de s’abriter dans l’ombre des conseils scientifiques ou des syndicats. Ce n’est pas ainsi que l’on peut gouverner une nation. C’est l’intérêt général qui doit primer sur toutes les décisions. Il pourra y avoir des erreurs. Mais ce ne sera pas la volonté des dirigeants qui devra être mise en cause.
Cela fait des mois et des années que je demande d’appliquer une politique social différente quant à son financement. Cela fait déjà un an que je demande de se servir du Graal qui servira à éradiquer les maladies. Cela fait bientôt plus de deux ans que je demande qu’on accepte de réguler les pressions atmosphériques pour éviter le cancer.
Le politique n’est pas là pour soigner.
Il est là pour prévoir et pour éviter. Le politique est là pour prendre les vraies décisions y compris pour notre santé.
Le politique a toujours peur de son ombre ; il a peur de ne pas se faire réélire et force est de constater que si le général de Gaulle est parvenu à redresser la France, il ne l’a fait que par des vraies mesures qui n’ont pas toujours plu mais qui ont été efficaces.
Le problème de la TVA sociale, en France, sans accroître en aucun cas les impôts, doit être résolu par le transfert des charges sur le budget de l’Etat. Mais, là encore, c’est la peur qui bloque le système. On y va à petits pas. Mais les petits pas ne font jamais gagner la course et nous sommes dans une course mondiale.
Jeunes de France, ne vous laissez pas écraser par un pouvoir qui a oublié l’intérêt général.
L’ENNEMI N’EST-IL PAS SOUS LES LAMBRIS DORES ?
En signant un armistice avec l’occupant qui tue, chaque jour, 300 des nôtres, est-ce la bonne solution ?
Accepter l’offensive en éradiquant le mal et les causes, en passant outre les avis médicaux et les conseils scientifiques, n’est-ce pas la bonne solution ? Aujourd’hui, les politiques sont devenus les accompagnateurs des virus.
L’ennemi n’est plus le même, il est devenu invisible, infiniment petit mais si nombreux que la peur nous paralyse.
On ne résoudra jamais une solution sanitaire par des vaccins.
Ils ne résoudront que 50% du mal et n’éradiqueront jamais l’ennemi.
Il fut une époque où nous manquions d’armement pour combattre l’ennemi. Aujourd’hui nous avons tout ce qu’il faut, y compris dans nos industries françaises, pour pallier le développement du virus. Eh bien non, les politiques en ont même peur. Et pourtant, il est le graal de notre santé.
Le soleil va revenir, comme l’année dernière, d’ailleurs.
Il va tuer ce que nos politiques n’ont pas fait.
Il va tuer tous les virus extérieurs exposés au soleil, mais resteront les virus qui, aujourd’hui, se trouvent chez vous, au bureau, dans les magasins et grandes surfaces, à l’abri du soleil.
En 1945, il a fallu utiliser de nouvelles armes, des armes qui provenaient de notre terre, de l’uranium. Aujourd’hui, je demande simplement qu’on utilise la lumière et le spectre de la lumière, pour détruire cette armée de virus.
Bien sûr qu’éventuellement le vaccin pourra prévenir en améliorant notre système immunitaire, avec des molécules qu’on aura rassemblées comme on se sert de l’alphabet pour faire un mot.
Mais il a fallu des siècles pour passer du système des signes à un système pictural … et l’on voudrait, avec un vaccin, ensemble des molécules d’un dictionnaire médical, résoudre un problème que la nature refuse…