Mes écrits, mes propositions, ne sont que la pensée et la volonté de milliers de médecins et aussi de vrais chercheurs. Ils ne comprennent pas pourquoi on leur impose une voie qui n’est pas la bonne. Et le doute s’est installé.
Ils veulent davantage d’humilité, plus de choix, plus d’alternatives ; ils veulent, au moins, que l’on ait encore la possibilité d’éradiquer le virus et d’éviter la maladie.
Ils n’acceptent pas que le serment d’Hippocrate soit bafoué pour faire de l’argent sans résultat.
Ils ne veulent pas être des machines à qui l’on impose tel ou tel médicament, ou telle et telle façon de voir. Ils ne veulent pas devenir des poinçonneurs du métro ou des faiseurs d’ordonnances.
Le bon sens de ces médecins, c’est qu’ils reconnaissent l’efficacité du soleil et de ses rayons ultraviolets, en fait, l’action de la nature.
En ce qui concerne le traitement des cancers, ils nous disent tous qu’à la solution du régulateur de pressions atmosphériques, ils n’y «avaient pas pensé». Même Pasteur serait d’accord avec la solution que je propose.
Ces médecins ne veulent plus être des pourvoyeurs d’ordonnances pour les laboratoires qui veulent leur imposer tout ce qui n’est pas naturel.
TANT QUE L’ON N’AURA PAS DÉPASSÉ LA BARRE DES 20°
Tant que l’on n’aura pas dépassé, en France, la barre des 20°, c’est-à-dire tant que le soleil sera suffisamment puissant avec ses rayons ultraviolets, le virus continuera à faire ses ravages.
À partir de 20°, la puissance du virus déclinera et ce n’est qu’à 30° qu’il s’endormira.
Mais, est-il nécessaire d’attendre ce qui va se résoudre en été sans, dès à présent, se servir de l’arme du soleil au moyen de lampes à ultraviolets ?
Faudra-t-il attendre qu’il y ait encore 10, 15 ou 20 000 morts de plus pour accepter de mettre son orgueil sous son mouchoir et d’utiliser l’évidence ?
Je répète que le virus s’adapte au climat de chaque pays.
Mais, dans l’ensemble, le virus ne vit qu’au froid, ne se développe qu’au froid. Il devient dévastateur jusqu’à la température de 20°, pour la France.
À nous d’en tirer les conclusions.
Et je rappellerai également que la non-assistance à personne en danger est un crime.
