Nous sommes nombreux à avoir des enfants, des petits-enfants, des neveux, des nièces, de 20 à 50 ans, susceptibles d’être appelés sous les drapeaux en cas de guerre. En ce qui concerne ma seule famille, c’est plus de 100 personnes.
La plupart d’entre eux n’ont jamais tenu un fusil et n’ont aucune formation militaire.
Ne serait-il pas, dès à présent, plus sage de combler cette lacune par une petite formation de quelques jours prise en charge par leur employeur, public ou privé ? Si un jour il faut une mobilisation générale, ce sera trop tard.
Prévoir n’est jamais inutile. Les techniques militaires ont beaucoup évolué. La cybernétique, les drones, les missiles, ont aidé mais pas remplacé le soldat au sol.
On pourrait peut-être faire effectuer ces formations à tous les chômeurs ; cela éviterait de les payer pour rien. Il est évident qu’il ne s’agirait que des chômeurs de 20 à 40 ans.
Eviter la guerre, c’est aussi la préparer. La guerre ne dépend pas que de la France mais elle pourrait engager la France.
Une vie sans guerre est rare : soyons prêts ! Aujourd’hui, on me dira qu’on n’a pas le budget pour ce faire. C’est possible. Alors demandons aux employeurs de le faire.
Profitons de la situation où nos militaires de métier sont encore disponibles pour former les jeunes. Demain, ils n’auront plus le temps de le faire…
Aux armes, citoyens
On produit de plus en plus d’avions Rafales avec Dassault. On produit à la chaîne de plus en plus de canons Caesar, c’est Thales. On produit aussi les moyens de rendre nos avions inattaquables.
Et pendant ce temps, on oublie de défendre l’homme de la nature. On ferait bien d’y penser quand des pays se préparent à la guerre bactériologique.
Réveille-toi, France ! Réveille-toi Europe ! Tu as trop profité de ces 50 dernières années.
La guerre bactériologique proviendra de virus lancés comme un essaim d’abeilles sans que personne ne les voie.
Oui, il nous faut assurer notre défense militaire, mais pas seulement. On peut aujourd’hui supprimer la race humaine, notre civilisation, par ce monde infiniment petit.
Alors, je dirai : aux armes, les régulateurs ! Protégez-nous !
