C’est une machine parfaite, quasi éternelle, exposée à une nature assassine par des variations de pressions, par des variations de flux magnétiques et par le rayonnement nucléaire du soleil.
Nous savons, grâce à nos physiciens, réguler ces désordres, dans un espace limité, pendant une durée limitée, suffisants pour que nos cellules puissent reconstituer leurs réserves.
Ainsi la machine humaine sera à l’abri de la maladie, de la vieillesse.
Ce sont les constantes qui nous sont imposées et qui sont les piliers de notre vie qu’il nous faut respecter.
Vivre en pleine forme et très longtemps, n’est-ce pas l’espérance de tout un chacun qui pourra alors s’exclamer :
« que la vie est belle ! ».
42 – 44
- Pourquoi les Américains sont-ils entrés en guerre en 1942 ?
- Pour défendre les libertés de l’Europe ou pour simplement mettre fin au torpillage de leurs cargos entre les Etats-Unis et l’Europe par les sous-marins allemands ?
Il n’y a pas que les Américains qui soient venus en France sur les plages de Normandie.
Il y avait aussi des Français, des Anglais, des Canadiens.
Il y a eu aussi, sur les côtes de la Méditerranée, les Généraux Leclerc, de Lattre, de Gaulle.
Je n’oublierai pas non plus toute la Résistance française et les Africains qui se sont joints à nous.
Certes, les Américains ont fourni armes et munitions, mais c’était aussi pour eux.
Il est vrai, qu’à l’époque, Monsieur Trump n’était pas encore né.
Il n’a pas connu cette guerre de 39-45.
Et il n’était pas encore né quand le Marquis de la Fayette et ses hommes accostèrent sur les côtes américaines pour venir en aide aux Etats-Unis.
Monsieur Trump : on n’a pas attendu l’Amérique pour être français.
Pour vous, Monsieur Trump, il est plus facile de s’asseoir dans le fauteuil que vous ancêtres ont préparé.
Il est vrai que c’est ceux à qui on a le plus donné, que l’on retrouve un jour sur son chemin.
Monsieur Trump, un peu de modestie s’il vous plaît.
Vous n’aurez, ni le Groenland, ni le Canada ou la bande de Gaza, et encore moins l’Europe.
A force de tout vouloir, on n’a rien.
