Il n’est pas normal, ni moral, que l’on ne donne pas à l’Ukraine les mêmes missiles à longue portée que Poutine lui envoie sur son territoire.
Poutine doit mourir et c’est son peuple qui le tuera. Poutine n’est pas un homme, c’est une bête féroce, un virus dangereux, un ours blessé. Il ne faut pas le soigner, il faut l’éradiquer car il est, à ce jour, l’une des causes de notre mal dans tout l’Occident et surtout en Ukraine. Poutine est aussi très dangereux dans toute l’Afrique à qui il donne des sucettes aux enfants pour pouvoir attirer les parents.
Nous avons les moyens de mettre la Russie à genoux. La Chine et l’Inde seraient trop heureuses de se débarrasser d’un serpent à leurs frontières. Cela ne les empêchera pas de faire du business avec la Russie, mais la Chine tout comme l’Inde y restent très prudentes car elles savent que les accords avec la Russie n’ont aucune valeur. Poutine est seul dans la guerre comme Hitler l’était en 45.
L’Ukraine est des nôtres ; mieux encore : elle verse son sang pour la liberté de nous tous. Nous lui devons le respect en lui donnant les moyens de reconquérir sa liberté. Et les missiles à longue portée qu’elle demande à corps et à cri doivent lui être donnés d’urgence : ce ne sera que la loi du talion.
C’est fini pour Poutine
En réunissant tous les pays qui pensaient lui être favorables, il s’est rendu compte que, dès que l’on a parlé d’aide militaire, tous leurs chefs d’État ont baissé la tête et ne l’ont pas relevée. Poutine est donc bien seul.
Une mobilisation générale en Russie : c‘est probable. L’arrivée du froid la rend impossible avant avril 2023 mais, d’ici-là, l’Ukraine aura repris la Crimée et chasser les Russes hors de toutes ses frontières. On fait souffrir l’Ukraine inutilement.
Que ce soit l’utilisation de la bombe atomique ou des armes chimiques, ce sera le boomerang. Bien sûr, un ours blessé demeure toujours dangereux.
On trouve normal que Poutine envoie des missiles sur des villes ukrainiennes mais qu’attend-on pour provoquer la réciprocité ? On n’a pas à se servir des Ukrainiens comme chair à pâté. Il est nécessaire, absolument nécessaire, que cette guerre soit terminée pour le mois de novembre de cette année.
Aujourd’hui, on parle déjà de neutraliser le ciel irakien avec les armées de l’OTAN ; ce sera chose faite dans moins d’un mois.
Quant à la Crimée, elle pourra attendre un mois de plus car l’hiver y est beaucoup moins rigoureux qu’en Russie.
La boucle se refermera, au plus tard, pour Noël de cette année.
