- La peur de la maladie et des virus,
- La peur d’un manque de sécurité,
- La peur du chômage,
- La peur de ne pas pouvoir faire vivre sa famille,
Toutes ces peurs, cumulées avec bien d’autres, entraînent la haine de l’autre et on ne peut plus se parler. On ne peut plus découvrir, innover, réguler, parce que rejeté systématiquement par les monopoles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou philosophiques. Dans tous les cas, la finance est l’un des vecteurs de la haine.
Aujourd’hui, l’Etat français ne produit plus, l’Etat ne protège plus, l’Etat ne permet plus de vivre décemment.
L’Europe ne protège plus, elle est divisée. Il n’y a aucune entité commune, ni juridique, ni de défense, ni de pouvoir d’achat : c’est du chacun pour soi.
Notre civilisation vacille du fait d’une religion politique ; le chacun pour soi fait oublier l’autre.
La maladie, l’absence de recherche des causes et des solutions, mettent notre économie à genou à cause d’un seul pays totalitaire qui, d’émergent, est devenu conquérant. Le Général de Gaulle l’a fait rentrer dans le concert des Nations dans les années 60. A l’époque, la Chine était un pays émergent. Elle a su profiter de tout ce que pouvaient lui apporter les autres pays.
La haine détruit les Etats tel que le Liban où plus personne ne se parle. La haine entre la Chrétienté et l’Islam divise les peuples entre eux. Seule l’application de la laïcité pourra être la solution. Mais l’Islam est divisé entre Shiites et Sunnites, la Chrétienté est divisée entre catholiques et protestants. Le peuple juif est divisé entre le peuple d’Israël et les autres juifs à travers le monde.
La haine s’installe en France au vu des résultats de la maladie et des virus, et du monde scientifique qui oublie le serment d’Hippocrate.
La haine, c’est aussi la volonté de dominer par un semblant de savoir qui se traduit souvent par un « je ne sais pas ». La haine des médecins envers le monopole du Conseil de l’Ordre et de l’OMS, se traduit par l’incapacité des médecins à faire leur travail dans le cadre du serment d’Hippocrate.
Il en est de même entre un Etat qui prétend tout savoir et tout diriger et un peuple qui en subit les conséquences. Et pourquoi, en France, la politique ou le politique est, pour le moins, le mal-aimé.
Et malgré tout cela, la France parviendra à s’en sortir !