Il faut revenir quatre-vingts ans en arrière.
Pendant que Pétain signait l’armistice avec l’Allemagne, de Gaulle voulait continuer la guerre et s’exila en Angleterre.
De Gaulle avait demandé des armes, la France le lui avait refusé. L’un s’est retrouvé prisonnier au fort, l’autre a pris le pouvoir, un vrai pouvoir, en 1946 et 1958. Et il a réformé la France.
En décidant de vivre avec le virus, on a choisi Pétain, avec toutes ses conséquences.
Ceux qui proposent des solutions de victoire se doivent d’être dans la résistance. En décidant de vivre « avec » le virus, le Président Macron n’offre aux jeunes aucune solution d’avenir car on ne fera jamais une bonne économie sans une bonne santé, fut-elle partielle.
Faire un plan de relance dans de telles conditions est voué à l’échec. Les jeunes d’aujourd’hui vont devoir retrousser leurs manches et reconstruire l’industrie, l’école, le tourisme et surtout la confiance. En fait, ils vont devoir créer un nouveau monde qui aura été détruit par la pensée unique.
Tout est possible aujourd’hui, il y a deux chemins à prendre. Celui du vaccin qui ne sera toujours que de petits sentiers de montagne ou prendre l’autoroute, en éradiquant le virus qui est aujourd’hui l’occupant de notre pays et du monde entier.
La grande défaite de ce siècle, et l’on s’en souviendra longtemps, c’est l’incompétence des scientifiques.
ils ont refusé d’utiliser la nature avec ses antidotes et qui remplissent les hôpitaux.
En temps de guerre, la situation de la démocratie peut prendre une autre forme, provisoirement, et le chef de l’Etat doit travailler par ordonnances pour reconstruire le pays.
Oui, il faut gagner du temps ; le temps est précieux car, pendant que l’on subit, pendant que l’Occident est à genoux, l’Orient a un développement exceptionnel qui dépassera les 6 à 7 % cette année. Et l’Orient n’aspire qu’à une chose : conquérir l’Europe.
Hier, pendant la guerre, on disait que les morts par balle sur le champ de bataille, étaient morts pour la France. Aujourd’hui, ceux qui meurent par le virus, seront morts par la France. Par une France dont les dirigeants n’ont pas compris l’intérêt d’utiliser la nature et ses antidotes.
Jeunes de France, il faut vous unir car demain, c’est vous qui allez prendre les manettes de la France.
En appliquant une vraie démocratie, en oubliant la pensée unique, en redonnant à la France ce que de Gaulle a fait en 1946 et en 1958. De Gaulle a assuré un avenir, une sécurité, qui ont permis de donner à la France une image respectée dans le monde, qui a donné à la France une nouvelle économie même si parfois quatre-vingts ans plus tard, il faudra se mettre au diapason de la mondialisation sur le plan économique et social.
Nous ne voulons pas perdre notre liberté, elle nous est si chère. Notre liberté ne tombera pas dans le précipice de la pensée unique. Tout doit être fait dans ce sens.
A bientôt !