Quand le lierre grimpe aux arbres, l’arbre va mourir. Quand le gui pousse sur les branches des pommiers et des peupliers, ces arbres vont mourir. On a l’impression que c’est le fait du hasard.
Quand l’homme se laisse envahir par de multiples maladies visibles ou invisibles, par des cancers et autres, il va mourir.
Il fut un temps où il y avait obligation de couper le gui sur les branches des pommiers et des peupliers pour éviter la contagion car ce sont les oiseaux qui transportent les graines d’arbre en arbre.
Pour l’homme, c’est d’éviter toutes les maladies dès le premier jour de sa naissance en éradiquant les causes. Pour ce faire, il faut réguler les pressions atmosphériques et les maintenir à 1013 millibars, celui du niveau de la mer.
Il est curieux de voir que l’homme, malgré son intelligence, n’a, à ce jour, rien fait dans ce domaine.
Et pourtant, ce n’est pas d’hier que l’on mesure les pressions atmosphériques avec un baromètre. On lui a apporté un dispositif électrique qui sera notre détecteur et ce, dès la naissance.
Agissons avec Hygée, le régulateur, pour ne pas devenir la proie d’Ankou.
Aider ceux qui décrochent
Aider ceux qui décrochent, c’est bien. Aider l’excellence, c’est encore mieux car c’est l’excellence qui fera la France de demain. Et c’est cette excellence qui donnera à ceux qui ont décroché l’envie d’apprendre.
Les plus malheureux ne sont pas toujours les pauvres ; ils sont aidés avec l’argent de l’excellence. Et l’insécurité, Monsieur le Président, ne provient pas toujours de ceux qui décrochent.
Derrière tous ces problèmes de formations, de santé et de sécurité, ce ne sont pas les laboratoires qui les résoudront car c’est avant tout un problème de santé publique.
Ce n’est pas non plus un problème d’argent car ceux à qui l’Etat donne, se promènent avec les baskets les plus chères qu’il soit.
C’est donc, avant toute chose, une solution de santé qui résoudra nos difficultés actuelles, et sur ce plan, soigner, c’est encore bien, mais éviter, c’est beaucoup mieux et moins cher. Ma devise est d’éviter pour ne pas avoir à soigner.
Ceux qui ont décroché ne proviennent pas toujours des familles pauvres. Il faut donc leur donner ce qui est indispensable à tous, riches et pauvres, les moyens de développer leurs neurones.