Hommes et femmes de toute couleur, de toute religion, vous vous adressez à
la nature comme à un dieu. Mais la nature est aussi un monstre qui détruit tout
ce qui la fait vivre.
La nature a deux faces : l’une neutralise l’autre. Elle nous donne la vie et nous
la reprend comme une voleuse.
Les plus hautes instances du monde n’ont pas cherché à affronter sa face
destructrice. La nature nous annonce à la vie par un cri de joie, elle nous fait
vieillir à peine arrivé.
La nature est une matière qui nous écrase, qui nous étouffe, détruisant toute
espérance de vie en nous privant d’oxygène. Oxygène marié à l’hydrogène pour
procurer l’eau qui nous désaltèrera sachant que l’hydrogène est aussi le feu
destructeur.
Pourquoi, hommes et femmes, n’avez-vous pas pensé à réguler cette pression
qui vous étouffe et qui vous tue à petit feu ? On nous dit que notre vie ne tient
qu’à un fil, mais ce fil à 40 000 km de longueur dans notre corps et si vous le
coupez, le moteur ne peut plus fonctionner. C’est exactement ce qui se passe à
chaque fois que les variations des pressions atmosphériques deviennent trop
importantes.
Alors, c’est ensemble que nous allons faire en sorte que l’on ne puisse plus être
coupé plus de 24 heures durant. Tout simplement en régulant ce monstre,
cette nature qui joue avec notre vie comme une pièce qu’on lance en l’air.
On va, tous ensemble, nous et chacun séparément, réparé la cause que le
monde médical n’a pas décelée. Je vous en laisse juge.
Je vous donnerai la petite valise qui va bouleverser les habitudes du monde et
qui, en même temps, vous apportera un futur pour découvrir le monde.
Le corps humain supporte mal
Le corps humain supporte mal quelques variations que ce soit. Même le
changement d’heure bouleverse notre horloge biologique.
Le corps humain possède un tableau de bord : tant que l’une des aiguilles n’est
pas au rouge, tout va bien. Dès qu’un clignotant apparaît sur ce tableau de
bord, il alerte, il cherche, il développe, une contre-attaque.
Michel Leclerc – n° 08 – 3 novembre 2022 – Parution le 10 novembre
Mais il restera beaucoup de soldats morts sur le champ de bataille. Le monstre
des variations de pressions atmosphériques affaiblira notre armée de soldats,
notre courage et le corps humain finira par rendre les armes pour mourir. De
toute manière, même si le corps arrive à repousser l’attaque, il en restera des
séquelles dans ses rangs.
Pour éviter tout cela, il faut mettre à la disposition du corps une force de
dissuasion qui éloignera l’ennemi. Ainsi est faite la nature : elle est dans les
deux camps. À nous de mettre en place cette force de dissuasion : pour le corps
humain, c’est de réguler la face cachée de la nature avant que n’arrivent les
conflits.
Pour l’homme fort, il faut aussi s’y préparer, dès la naissance. C’est ma
découverte pour la liberté physique de l’homme.
Cela fait des dizaines d’années que je l’assure, sur le plan économique.