Demain ce sera en Russie, du front à la Sibérie, que l’on sentira la poudre.
La Russie, toute entière devra dormir dans les abris.
Elle verra alors ce qu’est la guerre.
Les trois quarts des Russes vivent dans une bande frontale à l’Ukraine de 300 km sur 3 000 dans laquelle se trouve Moscou.
C’est plus de 100 millions de personnes qui y vivent.
Toute la grande économie s’effectue dans cette bande.
Certes, les réserves militaires sont bien au-delà, les Ukrainiens le savent depuis longtemps avec précision.
Il est donc nécessaire d’avoir des missiles à longue portée.
Ce ne sont pas les Russes que l’Ukraine veut tuer, elle veut détruire les munitions et le matériel militaire avec lesquels Poutine veut l’exterminer.
Les seuls missiles à longue portée que possède l’Ukraine aujourd’hui sont ceux qu’elle fabrique et qui peuvent atteindre l’Oural ou la Sibérie.
Et elle va s’en servir faute de choix politique de l’Occident.
L’Ukraine est bien parvenue à anéantir la flotte Russe en mer Noire et à bloquer les ports russes en mer Baltique.
Il reste à pulvériser les silos destinés au lancement des fusées équipées d’ogives nucléaires.
Il faut faire confiance aux Ukrainiens : ils vont le faire.
Aujourd’hui ; la Russie compte ses morts et ses blessés, ce sont plus de 2 millions de soldats qui sont hors course et si on ajoute les déserteurs, ce sont près de 3 millions de jeunes hommes qui manquent à Poutine pour son odieuse opération spéciale.
Les réserves humaines s’épuisent et la guerre pourrait s’arrêter faute de combattants.
Comme moi, Michel Barnier est un gaulliste
Il ne suffit pas d’être gaulliste pour que la France et les Français espèrent reprendre le flambeau d’un futur totalement différent.
Être gaulliste c’est vouloir que la France soit grande et reconnue du monde entier.
En France, il y a trop de malades, il y existe un système qui n’apporte pas de solution à la souffrance.
On parle de cycle de vie mais un cycle de vie peut tout aussi bien être de 83 ans, comme aujourd’hui, soumis aux écueils de la vie et de la vieillesse, ou de 180 ans, comme demain, en pleine forme et sans souffrance.
Ce cycle peut être doté d’un équipement qui évitera la maladie et la vieillesse en s’attaquant aux dérives de nos constantes.
Le Général de Gaulle a dit : « il ne suffit pas de sortir de Saint-Cyr, il faut sortir de l’ordinaire ».
Aujourd’hui, 85 ans plus tard, je pourrai vous dire qu’il avait raison et ce, quelles que soient les difficultés, quels que soient les risques qu’un Français peut prendre.
J’ai choisi de me battre contre les monopoles et, aujourd’hui, avec ma découverte, je veux mettre fin au système de santé français qui n’est plus dans le cadre du serment d’Hippocrate mais dans celui de la spéculation.
Je veux éviter d’avoir à soigner et j’y parviendrai malgré les doutes de certains.
