Quand quelqu’un apporte une solution ou une découverte exceptionnelle, systématiquement apparaît le doute.
Au lieu de faciliter l’application des découvertes ou des solutions, un mur de béton s’installe pour éviter que cela ne dérange l’intelligentsia et la spéculation.
Alors arrive une période de négation, d’insultes, dans les milieux bien-pensants. Et, après la période du « peut-être » et du « pourquoi pas », viendra l’évidence de la réalité. On assumera et minimisera ceci par honte de ne pas l’avoir découvert auparavant.
Regardez combien de temps il a fallu au chercheur Albert Einstein pour faire reconnaître sa formule de la relativité.
Et ce, par incompétence des milieux scientifiques. Pendant combien de temps a-t-il été mis à l’index ?
Découvrir, trouver les solutions, dans la France d’aujourd’hui, ce n’est que le début d’un parcours du combattant. Souvent, quand cette solution, cette découverte, bouleverse les habitudes et remet en cause le monde de la finance, tout est fait pour retarder l’utilisation ou l’application.
Nos dirigeants, nos politiques, ne font rien pour aider ceux qui trouvent. Et il en coûtera une fortune à celui qui a découvert, pour protéger sa découverte au niveau national et international.
Arrêtons cette arnaque car, en définitive, quand la solution et la découverte seront appliquées, l’État ne se gênera pas pour prendre 20% de taxes.
20% sur le produit que vous aurez découvert, sans compter l’impôt qui accablera l’inventeur sur les profits de sa découverte.
L’État doit prendre des décisions importantes pour la recherche qui trouve et que personne n’aura financée.
En France, trouver est un danger. Pour celui qui trouve et une insolence au génie de la France et des inventeurs.
Et, après tout ce parcours du combattant, on dira « c’était évident »…
Quand on est la cible
Quand on est la cible, amicale ou pas, c’est que l’on est déjà un chef à venir, ou un chef à abattre.
Michel Barnier doit être fier d’être considéré comme un chef à venir. Je dirai un chef naturel pour permettre à tous de jouer collectif et d’utiliser les compétences de chacun.
Tous les membres de l’équipe qui est aujourd’hui candidate à la Présidence de la République pour le parti LR, sont tous de petits génies. Ils ont tous déjà prouvé leurs compétences, qui ont tous le « CAP » pour devenir Président de la République. Et, sans parti pris, c’est la seule équipe qui, en jouant collectivement, fera de la France la championne du monde.
Il est vrai qu’il y a tellement de rénovations à faire, des rénovations qui vont bousculer nos habitudes, que ce soit à l’école, que ce soit pour le social et plus encore pour le sanitaire, et demain pour l’industrie : je demande que cette équipe sache bien qu’il n’y a jamais de bonne politique sans une bonne santé du peuple.
Prolonger la vie, c’est un immense capital de connaissances que l’on conservera pour former nos jeunes. Le vrai combat, c’est celui de la vie. Le travail ne doit pas être un calvaire, il faut y intéresser ceux qui travaillent en participant aux bénéfices de leur travail et donc de l’entreprise.
Quand on est la cible, c’est qu’on est dans le bon sens qui contrarie le « vivre avec » ou le « je ne sais pas ».
Être la cible impose une humilité dans ses rapports avec le peuple en sachant qu’un Président fait partie du peuple. Ce n’est qu’à cette condition qu’on obtient l’autorité nécessaire mais aussi la notoriété que l’on veut transmettre à tous.
Une bataille ne se gagne jamais seul dans un pays démocratique.
Bien sûr, il faut faire face à l’accident mais il vaut mieux l’éviter. Au cours d’une campagne électorale, il faudra éviter l’accident toujours possible. Surtout quand on est la cible et gagner ne sera que le résultat d’avoir été la cible.