Dans le domaine économique et social, les discours, les vœux pieux et les incantations ne remplissent pas le portefeuille de qui que ce soit.
C’est pourquoi, à chaque fois que je propose quelque chose de nouveau, je veille :
- à ce que le financement soit assuré
- que ce financement rapporte plus qu’il ne coûte.
C’est ainsi que j’ai démontré la possibilité de remplir les caisses de l’Etat en changeant le système en place depuis 1946, qui n’est plus d’actualité face à la mondialisation.
Oui, faire rentrer 800 milliards de plus, chaque année, dans les caisses de l’Etat est la seule solution qui intéressera Monsieur le Président de la République, Monsieur le premier Ministre et ses Ministres. Je peux les comprendre : il faut être réaliste et avoir les pieds sur terre. Tout ce que je propose n’aurait aucun intérêt s’il n’avait pour finalité de défendre la vie mais aussi le portefeuille de tout un chacun.
En demandant le transfert des charges patronales et sociales, en général, sur le budget de l’Etat, j’ai démontré, chiffres à l’appui, que je faisais rentrer plus de 800 milliards dans les caisses de l’Etat, et que parallèlement j’accrois le pouvoir d’achat de 22% et que je fais baisser le chômage au-dessous de 3%.
Et l’on oublie souvent que la solution que j’apporte réduit aussi les charges salariales de l’Etat de près de 40 %. Je n’oublierai pas non plus la balance commerciale qui, au lieu d’être à moins 80 milliards, sera à plus 80 milliards.
Ce que je demande également, c’est la suppression du pétrole remplacé par l’hydrogène. Cela supprimera, de surcroît, la pollution. D’ailleurs, supprimer l’utilisation du pétrole, c’est aussi réduire massivement nos importations.
Pour l’écologie, je ne me suis pas contenté de discours ou d’incantations ; j’ai donné la cause du réchauffement climatique, en tout cas la principale. Cela est scientifiquement démontré et j’ai apporté la solution en disant de mettre en cultures ou en forêts des millions d’hectares au pourtour du Sahara par une dizaine de barrières écologiques vertes. Le Maroc y est presque arrivé.
Mais cela serait un vœu pieux et n’entraînerait aucun investisseur si l’on n’apportait pas l’aspect économique pour remplir les portefeuilles des investisseurs et, par ce fait même, rentabiliser leur investissement.
Non, l’écologie ne doit pas coûter de l’argent. Non, les problèmes de la vie et de notre vie ne remplissent pas les portefeuilles des investisseurs : c’est secondaire pour eux. Là encore, il faut être réaliste.
Dans le domaine de la surpression atmosphérique à maîtriser, ce n’est pas la vie qui intéressera les investisseurs mais l’intérêt économique et seulement l’intérêt économique.
N’attendons pas grand-chose de l’Etat. Ses caisses sont vides. Mais il pourra toutefois intervenir dans le cadre diplomatique et dans le cadre d’une caution morale ou financière. C’est le moins qu’il puisse faire. Il n’y aura rien à financer directement. Il devra simplement agir sur nos ambassades et consulats pour créer une puissance commerciale, ou tout au moins la faciliter, qui sera rémunérée par le chiffre d’affaires réalisé au travers de ces ambassades.
Est-ce trop bien pour être vrai ? Un peu de bon sens suffira, Monsieur le Président. Avouez tout de même que j’essaie par tous les moyens de rentabiliser toutes mes propositions.
Il faudra bien, un jour, que cela se réalise.