Si, pour des raisons inconnues, un pays – quel qu’il soit – doté d’une arme nucléaire décidait de nous anéantir, serions-nous en mesure d’avoir les moyens d’interception et de réaction instantanés avec notre défense nucléaire ?
La défense nucléaire de la France est-elle hors d’usage ?
Sans vouloir être un oiseau de mauvais augure, je crains que nous n’ayons actuellement plus les moyens opérationnels de réagir face à une attaque nucléaire. Certes, il y a des secrets d’Etat, mais dans l’état où se trouve notre armée, on peut se poser bien entendu la question.
Il serait intéressant qu’un militaire, un stratège, puissent nous en donner quelques éléments sérieux de sécurisation certaine, pas une ligne Maginot de mauvais augure.
Michel Leclerc : “Je pose la question au Général d’Etat-major et donc à son chef, le Président de la République : pourquoi n’oserait-on pas dire aux Français qu’il faut un financement nécessaire tout de suite pour assurer la victoire en cas d’attaque insolite ?”
Ce n’est pas du “peut-être” quand il s’agit de nos vies et des moyens de protection.
S’il est nécessaire d’investir immédiatement 200 ou 300 milliards pour être certain d’avoir une armée prête à nous protéger, pourquoi ne pas la financer sous forme de bons d’Etat ? Les Français seraient prêts à donner ce qui est nécessaire devant un choix : vivre ou mourir.
Michel Leclerc : “Faisons attention, Monsieur le président, de ne pas renouveler 1939.”
Ne soyons pas agressifs, mais on ne peut pas non plus dire qu’il n’y a pas d’agression possible dès aujourd’hui et peut-être demain.
Alors il vaut mieux prévoir que guérir ou mourir. Les Japonais d’HIROSHIMA et de NAGASAKI ne s’y attendaient pas non plus.
Sans être trop terre à terre, c’est comme dans le commerce, il y en a toujours un pour brouiller les cartes.
Ce ne sont pas que des paroles, ce sont nos vies, Monsieur le Président et des réalités qui sont des jeux dangereux.
Si vous êtes en accord avec ce projet, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat.