La découverte d’une cause importante des cancers ne doit pas nous faire oublier les problèmes terrestres et journaliers. Nous sommes en hiver, alors on oublie le réchauffement climatique. C’est bientôt Noël et le Nouvel An, alors on oublie la pauvreté. Il y a de multiples événements ; alors on oublie le pouvoir d’achat, quitte à s’endetter. Il pleut, il neige, alors on oublie la pollution et la mise en place de l’hydrogène comme carburant et force énergétique.
Bon, il va falloir s’y mettre
Certes, il n’est pas possible de tout faire d’un coût de baguette magique. Tout ce que je propose est toujours lié à une proposition constructive qui permettrait de mettre fin aux problèmes évoqués ; je ne me contente pas de dénoncer un problème, j’en apporte la solution.
Et à présent, c’est un problème de survie. J’en donne la solution :
- pour la vie, c’est la régulation de la pression atmosphérique dans les lieux de vie, de travail ou de repos
- pour la pollution, c’est l’utilisation de l’hydrogène
- pour le réchauffement climatique : la cause, c’est le Sahara. La solution, c’est la remise en culture de quelques millions d’hectares en forêts ou tout simplement en cultures et en horticulture.
- pour le pouvoir d’achat, c’est une simple ordonnance pour transférer les charges sociales patronales sur le budget de l’Etat
- Pour l’énergie, c’est la construction de 150 minicentrales de 100 MGW puis de 5 MGW, pour remplacer les mastodontes que sont nos usines nucléaires ; et j’espère que le modèle Iter pourra aussi être miniaturisé
- pour la sécurité, c’est d’abord redonner à la France sa grandeur sans pression économique ou militaire
- pour l’adhésion, c’est rétablir la confiance.
Oui, tout ceci n’est pas coûteux par rapport à ce qui existe et qui est astronomiquement coûteux.
Pour y parvenir il faudra accroître notre productivité par une baisse massive des prix et par la réforme totale de notre système d’exportation et d’ambassades.
Tout ceci n’est qu’une goutte d’eau par rapport à l’enfer des monopoles, des privilèges et de la spéculation.
Alors, Monsieur le président, à vous de dire : Debout la France !