Monsieur le président Macron, vous avez hérité d’une France blessée, blessée par une dette qui n’est pas la vôtre, figée par un financement de la Sécurité sociale fondé sur le travail. Malgré une concurrence européenne et mondiale, il faudrait un renouveau social.
Le président Macron ne doit plus attendre
La France a été affaiblie par un manque de financement qui, aujourd’hui, fait défaut pour son armement et surtout pour ses communications dans le cadre d’une cybernétique agressive.
Monsieur le président Macron, comme Jeanne d’Arc, comme le Général de Gaulle, il vous faudra être un homme hors du commun pour redonner à la France sa position de 5e puissance mondiale.
Sa puissance, sa reconnaissance, son avancée sociale et économique, ne pourront se faire qu’en cassant le financement de la spéculation et des lobbies sans mettre en cause ceux-là mêmes qui ont fait la France : paysans, cheminots, travailleurs, qui ont pris tous les risques en se portant au secours de tous les Français. Ils veulent un chef hors du commun qui sache prendre tous les risques.
La politique ne doit être en aucun cas une barrière à vos décisions qui, trop souvent, sont érigées par quelques Français soucieux de protéger leurs situations, leurs pouvoirs, sans oublier ceux qui, dans l’ombre, préparent les guerres et les asservissements par des monopoles. Cela, président Macron, c’est injustifiable envers les Français.
Que ce soit de Gaulle ou Jeanne d’Arc, que vous avez cités, ils n’avaient comme pensée, comme avenir, que l’étendard de la France qu’ils ont porté très haut face aux destructeurs.
