La nature a aussi ses exigences ; le climat en est une. La valeur d’un bonheur, d’un ressenti, en est une autre.
Comment protéger la nature de la maladie quand elle en est l’auteur ? Comment protéger la nature et assurer le développement économique ?
Aussi bizarre que cela soit, on peut concilier la nature avec tous ces éléments en utilisant tout simplement la nature dans tous ses états y compris ses antidotes.
L’alchimie, les apprentis sorciers qui manipulent les molécules, ne sont pas les armes de la nature. La nature dispose de tout ce qui est nécessaire pour protéger la vie.
Bien évidemment, il ne faut pas être contre tous les progrès de la science, mais la nature n’aime pas qu’on l’immole sur le bûcher de la science. On n’utilisera jamais suffisamment la nature. On la détruit souvent et elle se venge : c’est un rappel à l’ordre.
Toutefois, la nature a aussi ses dérives qu’il faut réguler, parfois éradiquer, neutraliser, très souvent par des dispositifs naturels, mécaniques et jamais par la chimie. Certes, on peut utiliser beaucoup de choses avec la chimie mais il faut éviter de l’appliquer à l’homme. Il y a suffisamment de produits naturels pour réparer les dérives de la nature.
La vie est une chaîne avec de multiples maillons qui s’entrelacent. Il faut éviter de casser un maillon de cette chaîne. Les maillons peuvent s’user mais la nature dispose de tous les moyens pour les régénérer : c’est le miracle de la vie.