Combien d’enfants, combien d’hommes et de femmes vont mourir par l’orgueil d’un seul homme qui a ruiné son pays pour faire la guerre ?
Tous les pays d’Europe pourraient peut-être secourir l’Ukraine par l’envoi de commandos spéciaux équipés pour faire reculer Poutine. Et la meilleure solution serait de s’attaquer aux centres vitaux de la Russie, telles que ses installations pétrolières, ou encore de détruire deux à trois centrales nucléaires, en sachant que pour détruire une centrale nucléaire, une seule bombe suffit pour mettre hors d’usage toute la centrale.
Aura-t-on ce courage ?, je crains que non. On parle, on palabre, on s’apitoie et, comme à Munich en 1937, c’est toute l’Europe qui va s’enflammer. Hitler n’a pas hésité à annexer l’Autriche puis tous les pays d’Europe ; il en sera de même de Poutine. Pourquoi s’arrêterait-il s’il n’y a aucune opposition et surtout, si l’on ne touche pas au cœur la population russe en la mettant dans le noir et en l’empêchant de se chauffer.
C’est maintenant où il fait encore très froid en Russie qu’il faut s’en prendre à ce qui peut faire changer l’opinion russe et renverser définitivement Poutine et ses amis qui n’ont rien compris mais aussi qui ont, à une époque, tendu la main à l’Europe, mais une main qu’on n’a pas prise.
Il faut mettre fin tout de suite à cette guerre. Il faut faire reculer Poutine, il faut le renvoyer dans sa datcha.
On se doit t’étouffer la guerre dans l’œuf et ce, d’une manière brutale et instantanée, comme savaient le faire les Israéliens.
Pourquoi ne prêterions-nous pas à l’armée ukrainienne une cinquantaine de rafales qui seront pilotés par des Ukrainiens ? C’est le moins que l’Europe puisse faire. Aura-t-on ce courage, osera-t-on prendre ce risque ? Et il n’y a pas que la France qui puisse le faire car Poutine sait très bien qu’il ne pourra pas utiliser son arme nucléaire contre la France sans être lui-même anéanti.
Nous connaissons ‘exactement où se trouve ces points stratégiques en Russie ; il faut créer la surprise et ne pas se contenter de voir mourir l’Ukraine : c’est un peu trop facile.
La foudre va s’abattre sur la Russie
Pour protéger l’Ukraine, il ne faut surtout pas de demi-mesures. Le portefeuille, certes, c’est l’habitude des Occidentaux mais, pour Poutine, c’est sa survie qu’il met en jeu.
L’argent, il n’en a que faire, il en a suffisamment, mais il veut l’Ukraine pour cacher ses erreurs du passé. Il veut s’accaparer les richesses de l’Ukraine pour mieux nous écraser plus tard.
On a vu que, dans le cadre de l’épidémie, l’argent ne suffisait pas pour y mettre fin. Il faut des idées nouvelles et les Français n’en manquent pas. Il faut mettre Monsieur Poutine en échec, il faut le traîner plus bas que terre.
Si nous n’étouffons pas cette guerre aujourd’hui, mais pas seulement cette guerre mais Poutine lui-même, il sera à Paris avec ses chars dans quelques mois. Sa parole ne vaut rien. Son peuple est dans la misère : 50% des Russes sont des sans-rien. Et pourquoi s’arrêterait-il puisque le chantage fonctionne bien ?
Aujourd’hui, Poutine ne s’en prend plus aux centres vitaux de l’Ukraine, il s’en prend à la population car il se garde bien de détruire ce qui constitue la richesse de l’Ukraine pour mieux s’en servir.
L’expérience des exactions de l’Allemagne en 1937, 1938 et 1939, nés de l’orgueil d’un fou, devrait nous faire réfléchir. Nous disposons de tous les moyens nécessaires pour mettre fin à cette guerre dans les plus brefs délais. On ne me fera pas croire que la puissance nucléaire de l’Europe et des Etats-Unis ne puisse pas éteindre le feu de Poutine.
Ce que je crains, ce n’est pas la guerre, ce sont les demi-mesures qui vont être prises et qui ne nous conduirons à rien, exactement comme pour la pandémie. On nous a menti du début jusqu’à la fin, on a enrichi quelques-uns et on a laissé mourir des millions de gens dans le monde, alors qu’on savait ce qu’il fallait faire. Tout recommence sans cesse.
Et je constate que ce sont les sans-rien qui bousculent les riches. Alors, que les riches fassent bien attention et que leurs dirigeants prennent les bonnes décisions.