Malgré tout le respect dû à Messieurs les maires, force est de constater que le centre-ville se vide au profit des zones limitrophes et périphériques.
Le centre-ville a pourtant la solution
A-t-on peur de la modernité ? N’a-t-on pas déjà connu la période où les locomotives n’avaient pas le droit de cité dans certaines villes et où le chemin de fer est passé à côté.
Il en est de même pour les grands centres commerciaux qui vont s’installer dans les périphéries, faute de place dans les centres-villes.
Ne faudrait-il pas, dans le plan d’urbanisation des villes, prévoir au centre de ces villes des surfaces suffisantes pour installer des centres commerciaux avec des parkings et avoir ce que l’on appelle des locomotives commerciales qui attirent les consommateurs mais aussi les petits magasins. On y trouverait de petits magasins spécialisés, des artisans, etc.
C’est ainsi que se créerait la ruche.
La vie économique, la vie artisanale, créent une nouvelle vie mais aussi des recettes fiscales. Ces trains, ses grandes surfaces, ont été trop longtemps exclus du centre des villes sous prétexte de protéger le petit commerce et c’est le contraire qui s’est produit.
Il n’est pas trop tard pour résoudre le problème, faut-il en accepter le principe. Car pour l’instant l’heure est grave.
Oui, au centre d’une ville, il faut un train qui siffle, un clocher qui sonne, des voitures qui roulent, un théâtre pour apporter la culture, des cinémas pour se distraire. Des formation pour les commerçants pour comprendre comment sauver les comptes d’exploitation.
Il faut avoir le courage d’inverser le principe en prévoyant l’administratif, l’hôpital, le Palais de Justice, les stades, à l’extérieur ou à la périphérie de la ville et laisser les activités de chaque jour au centre de la ville.
Dans plusieurs villes, il existe une prison ou une caserne qui n’ont plus leur place dans la ville et l’on pourrait donc les remplacer par des centres commerciaux.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.