Ce ne sont pas les impôts qu’il faut

Ce ne sont pas les impôts qu’il faut augmenter c’est la santé de l’homme a qui il faut redonner vie.

Depuis tout temps, les éléments extérieurs à l’homme le détruisent, jour après jour, pour le conduire à une vieillesse désastreuse et parfois interrompue par la maladie, par les virus, etc.

Arrêtons de bricoler des médicaments pour soigner.

Attachons-nous à prendre les moyens techniques pour éviter d’avoir à soigner, et nous savons le faire.

Le résultat en sera une vie en pleine forme sans perdre les facultés de la jeunesse.

Et tous les Français seront heureux de participer à un renouveau économique en ayant réduit le coût des charges sociales de 50%.

On pourra dès lors envisager un travail souhaité et non imposé pour une durée beaucoup plus longue dans le temps et beaucoup plus réduite par semaine.

Oui, nous vivrons très longtemps et c’est avec une technologie, au même titre qu’un radiateur, que le régulateur des dérives de la nature pourra redonner à nos constantes leur valeur nominale.

Une dérive de plus de 1%, dans tous les secteurs de notre vie, y compris notre température intérieure du corps, entraîne des soucis de santé.

Pour cela, il faut aller à la source si l’on ne veut plus voir nos cellules mourir faute d’oxygène et dont la mort engendre de lourdes maladies infectieuses dont le cancer.

Ce sera 300 000 morts de moins, chaque année, rien qu’en France et nous retrouverons une santé avec un autre visage dans un autre monde.

Ce qui peut paraître invraisemblable est l’évidence.

 

Avec le régulateur, le retour

Avec le régulateur de pressions atmosphériques, ce sera le retour à la productivité et à la production.

  • Ce sera le retour à un bilan annuel bénéficiaire pour notre pays.
  • Ce sera la possibilité de réduire la dette.
  • Ce sera le retour à un travail désiré, souhaité. Ce sera la conservation de toutes les capacités physiques et intellectuelles de notre jeunesse.
  • Ce sera une vie sans fatigue excessive, sans maladie infectieuse, sans vieillesse avérée.

Notre bien-être et nos avantages sociaux ainsi que notre pouvoir d’achat pourront être développés dans la durée.

On pourra même, dans les dix ans à venir, réduire notre temps de travail hebdomadaire, largement compensé par une pleine forme et surtout pour une durée de vie beaucoup plus longue.

Et il n’est pas exclu que nous puissions travailler jusqu’à 100 ans et plus, en pleine forme, et avoir une longue retraite, tout autant en pleine forme.

Monsieur Michel Barnier, vous avez beaucoup parlé de santé depuis votre arrivée à Matignon, ce que je vous propose ce ne sont pas des médicaments qui ont leur raison d’être, mais les moyens de ne plus avoir besoin de médicaments.

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