Les APL, l’ISF, le Code du Travail, etc. Toutes les aides sociales finalement sont petit à petit concernées… Ces suppressions sont-elles des écrans de fumée pour arriver à l’essentiel ou pour cacher l’essentiel ? Les économies de bout de chandelle pour ne pas voir une dette abyssale de 2 400 milliards.
La suppression des aides sociales cache l’essentiel
Revenons au sérieux. La seule décision qui vaille, c’est le financement pérenne de la Sécurité sociale, d’une vraie Sécurité sociale : 230 milliards par an payés par les charges sur le travail. La suppression des aides ne résoudra jamais rien. A défaut de sauver notre protection sociale cette politique détruira le lien social.
A contrario, ces cotisations qui sont prélevées sur les salaires sont payées par un Français qui travaille pour trois autres qui en profitent ou en bénéficient.
Le résultat est simple : le portefeuille des commandes est vide dans les entreprises ou tout au moins insuffisant, car le salaire de celui qui travail coût bien trop cher au niveau international.
La dette de chaque Français s’accroît au même moment de 3 euros par jour et par Français. Résultat : un jeune de 18 ans va démarrer dans la vie déjà avec 55 000 € de dette de l’Etat sur le dos. Veut-on assassiner ce jeune travailleur ?
Ça suffit, le peuple de France en a assez. Nos dirigeants le savent, et quand il y a le feu, il faut déjà l’éteindre avant d’attendre qu’il ne se repende. A moins que nos politiques soient devenus pyromanes.
Paris brûle. L’asservissement de nos français à la spéculation et demain aux intérêts, arrivera à un sommet où l’on ne pourra plus payer.
Il faut appliquer le plan TRES, il n’y a vraiment aucune autre solution avant que le vent se mette à souffler sur l’incendie.
Jetons les bouts de chandelle à la poubelle et occupons-nous de l’essentiel. Il faut réduire les prix de 15% et accroître le pouvoir d’achat de 22% par le transfert des charges patronales sur le budget de l’Etat.
La productivité en découle, les commandes afflueront, les investisseurs reviendront en masse. Quand il y a le feu, tous les moyens doivent être mis en action.
Paris brûle, l’eau de la Seine ne suffira pas pour éteindre la Bourse car les incendiaires sont dans le monde entier à qui nous empruntons tous les jours davantage d’euros sans savoir comment on va les rembourser.
Drôle de gestion de la part d’un banquier. Ils sont plus rigides avec ceux qui travaillent et viennent leur quémander un prêt.
Au secours ! le chômage de masse est un suicide collectif.
Utilisons non pas les lances à incendie mais la TVA et la CSG comme bombardiers d’eau, et il faudra des dizaines de canadairs.
Michel Leclerc : “Paris brûle ! Aux armes citoyens. Nos armes doivent être dans la prise de conscience collective. Tout le reste n’est que cendres et bouts de chandelle.”
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.