Plus d’électricité, plus de carburant, plus de gaz, Moscou est dans le noir.
Les usines de la périphérie de Moscou sont à l’arrêt.
- Aujourd’hui, 20% des raffineries sont détruits,
- avant la fin mai ce sera 25%,
- puis 30% et ce, grâce aux armes que l’Ukraine fabrique elle-même.
Le front n’est pas l’essentiel, ce sont les sources qui les alimentent qu’il faut détruire :
plus de carburant, plus de char.
Moscou dans le noir, c’est aussi plus de télévision, plus de chauffage, plus d’électricité dans les supermarchés.
C’est la panique et Poutine ne sera plus le sauveur mais l’assassin de la population russe.
Le pouvoir russe se fissure, y compris au sommet de l’Etat.
Tout va aller très vite, y compris en Crimée.
Aujourd’hui, l’Ukraine possède beaucoup de munitions au point de ne pas savoir où les stocker.
L’Ukraine a aussi créé un dôme de fer grâce aux Patriotes et aux armes françaises et, pendant ce temps, les défenses russes en Crimée sont détruites.
Les bateaux russes sont coulés quand ils osent prendre la mer.
Le ciel de l’Ukraine se nettoie et les avions russes sont détruits au sol et des milliers de drones dans les airs.
Les avions de tourisme achetés sur le marché européen et transformés en drones font un ravage à l’intérieur de la Russie.
Dans quelques jours, la mer Baltique sera fermée aux bateaux russes grâce à la Finlande et à l’Estonie.
Les sous-marins russes ne pourront plus entrer dans les ports de la Baltique.
Voilà la situation qui va se présenter et, pendant ce temps, les Occidentaux discutent s’il faut utiliser leurs armes en Russie…
Retirer l’homme des griffes de la nature
La vie est arrivée parmi une faune où se trouvait l’homme en proie aux griffes de la nature.
Hors de ces griffes, l’homme peut vivre très longtemps, avec toutes ses facultés et avec toute sa puissance.
Aujourd’hui, l’homme est dévoré par la nature dès sa naissance.
La Terre est dotée d’une nature de toutes formes :
végétales, animales, humaines, le tout vivant avec l’oxygène de l’air en abondance.
Ce caillou qu’est la terre a été bousculé au cours des temps mais la nature a survécu et l’homme a créé des armes pour se protéger et a cultivé la terre pour se nourrir.
Toutefois, l’homme a oublié de protéger sa vie des fureurs invisibles d’une nature qui se fait assassine et qui peut le tuer.
On a utilisé la phase positive de la nature, on a oublié l’autre phase désastreuse.
La vie lui appartient.
A nous, humains, de faire en sorte qu’elle ne puisse pas nous la reprendre.
C’est tout le combat qu’il faut mener pour conserver les colonnes de l’édifice de notre vie.
Ces colonnes sont des constantes qu’il nous faut maintenir au quotient avec lequel l’homme peut vivre.
