Sur 52 réacteurs existants, 10 d’entre eux servent à compenser les pertes de
lignes aériennes et 10 autres à compenser les pertes dues aux transformateurs
au départ des centrales nucléaires et à leur arrivée chez l’utilisateur.
Quand il faut ajouter 10 réacteurs qui sont en maintenance, en permanence, il
ne reste plus grand-chose pour l’utilisateur. On se moque du monde ! On jette
les KW dans l’atmosphère pour la réchauffer, et l’on se plaint du
réchauffement climatique.
Il va falloir raison garder en utilisant des milliers de minicentrales au pied des
zones de consommation. Chaque grand industriel devra avoir sa minicentrale,
ce qui permettra à tous d’avoir un KW quatre fois moins cher.
Pour y parvenir, il faut mettre fin au monopole de l’EDF dans le cadre de la
distribution car, en définitive, c’est l’EDF qui fixe les prix, y compris pour
l’énergie produite par les éoliennes et les panneaux solaires.
D’autre part, on a découvert, pendant la guerre en Ukraine, que 50% de
l’uranium utilisé aujourd’hui était fourni par la Russie. Les nouvelles
minicentrales, dans moins de 5 ans, n’utiliseront que du thorium que l’on
trouve dans tous les pays occidentaux.
Il me semble que cette indépendance devrait peser lourd dans la balance. Il me
semble que l’énergie perdue dans la nature devrait peser lourd dans le cadre
du réchauffement climatique.
Les centrales nucléaires au thorium et refroidissement à sels fondus pourront
aussi être enterrées, compte-tenu du peu de surface nécessaire, et elles seront
ainsi à l’abri de toute attaque extérieure malveillante ou guerrière.
Les centrales au thorium seront transportées par container et elles seront
fabriquées en série dans nos usines comme les voitures aujourd’hui.
Un jour viendra où ce sera l’heure des microcentrales nucléaires que tout un
chacun pourra utiliser. En attendant, chaque village ou groupe
d’agglomérations, chaque ville, chaque gros consommateur, doivent avoir leur
minicentrale au thorium.
La France s’en trouvera embellie : plus de lignes aériennes, plus de
transformateurs, plus d’éoliennes, plus de panneaux solaires : la France
redeviendra ce qu’elle aurait dû toujours rester.
Nous verrons alors revenir en France les industries du verre et de l’aluminium,
gros consommateurs de KW. On verra alors l’hydrogène devenir la source
énergétique la moins chère, on verra alors tous les véhicules utiliser
l’hydrogène comme combustible, que ce soit directement en voiture
thermique, ou que ce soit avec la pile à hydrogène. Dans les deux cas,
l’hydrogène sera dans le réservoir.
La solution de l’hôpital et les EHPAD
La solution proposée par le gouvernement mettra des années à être réalisée et
sans résultat probant. Toujours plus de dépenses, toujours davantage de
maladies. Une fois de plus, le problème est pris à l’envers et non à la source.
En réduisant les maladies, ou même en les supprimant, en supprimant la cause
de la vieillesse, il ne sera pas utile, ni de construire des EHPAD, ni de construire
de nouveaux hôpitaux. Et cette guerre doit être gagnée très rapidement et très
économiquement.
C’est la solution que je propose avec la régulation d’un phénomène naturel et
ce, pendant le sommeil. Les architectes vont devoir reprendre leurs tablettes
pour rendre les chambres à coucher plus étanches, au même titre que pour le
chauffage ou la climatisation. Il nous faudra disposer d’un régulateur de
pression atmosphérique (« Hygée bien être »).
La médecine n’y a pas pensé, la technique va y suppléer. Et, au-delà de ces
avantages, non seulement on évitera des dépenses de plusieurs milliards, mais
on redonnera à l’homme, sans contrepartie, sa force, sa puissance physique et
intellectuelle, pour mieux vivre et plus longtemps.
Le travail, la retraite, auront un autre visage. On ira au travail par plaisir et on
entrera en retraite en pleine forme.
Arrêtons de bricoler avec la vie, utilisons la nature pour éviter les affres de la
vieillesse ou encore le mouroir des EHPAD. Le problème des médecins, de
l’hôpital et des EHPAD aura alors été résolu.
Quant à la retraite, il n’y aura plus besoin de descendre dans la rue car la
retraite d’aujourd’hui est l’antichambre de la mort : demain elle sera la joie de
vivre.
