La guerre en Ukraine, à ce jour, n’a rien coûté à l’occident. On a dépensé trois cents milliards totalement couverts par les avoirs russes déposés en occident.
En fait, on fait la guerre en Ukraine sans bourse déliée. Mieux encore, on fait tourner nos usines, on accroît notre PIB avec l’argent des Russes.
Quelle erreur de la part de Monsieur Poutine et de son équipe, si équipe il y a, d’ailleurs. Je dirai plutôt des assujettis à un système d’argent détourné a détriment de la population russe.
Puits de pétrole, puits d’argent : jusqu’à quand ? Drôle de guerre ou plutôt drôle d’avenir entre la liberté et le totalitarisme.
L’occident serait-il à bout de souffle, entretenu par la Russie ? Je pense que c’est l’homme qui est à bout de souffle dans le monde entier. On a dépensé des sommes faramineuses inutilement pour donner un peu de souffle à notre vie et à notre économie.
Mais ce n’est pas avec des armes, ce n’est pas en conquérant de nouveaux territoires mais simplement en assurant le maintien des constantes, piliers de notre vie, qui règlent notre existence sur cette terre où la nature nous assigne à la mort par ses dérives, que nous parviendrons à maintenir notre vie.
Debout la France, debout l’Europe, on fabrique 5 millions de voitures en Europe, il va falloir assembler 10 millions de régulateurs Hygée, chaque année pour redonner vie à nos populations.
Les épreuves de philo du Bac
Un des sujets était : la nature est-elle hostile à l’homme ?
J’ai lu le corrigé de cette épreuve rédigé par le Professeur de philosophie Clément Philippe.
Ce corrigé m’aurait semblé parfait si l’on n’avait pas oublié les hostilités invisibles et non ressenties de la nature qui tuent l’homme et ne lui donne que quelques années à vivre (83 ans en moyenne).
Si les hostilités visibles sont déjà conséquentes, les hostilités invisibles et sans ressenti sont toutes mortelles après d’atroces souffrances.
Oui, la nature est hostile et empêche l’homme d’être à l’image de Dieu. C’est à nous, humains, estimés intelligents, de déceler les causes et d’en contrer les conséquences pendant un temps déterminé et en un lieu bien précis.
Nos physiciens connaissent, au moins partiellement, ces causes destructrices. Notre médecine les a mis au placard sans apporter la moindre solution, pour favoriser son fonds de commerce.
La vie est sacrée, le médecin devrait l’être, mais, faute de l’être, ce sont les ingénieurs qui prennent le relais sacré pour la vie, avec des dispositifs protecteurs et des mécanismes régulateurs. Ils assurent la maintenance de toutes nos constantes visibles et invisibles, pour un nouveau monde.
Le corrigé de ce professeur de philo nous laisse encore pantois car il omet l’essentiel qu’il semble ne pas avoir décelé lui-même.
Non, l’homme n’est pas hostile aux manifestations destructrices visibles de la nature. Elles ne sont qu’epsilon face aux forces destructrices de l’invisible. L’homme subit la nature.
Mettre l’homme en cause, c’est méconnaître le déchainement des puissances invisibles de la nature qu’il nous faut maîtriser.
C’est à l’ingénieur et non au médecin d’assurer les constantes que peut supporter notre corps.
