C’est probablement ceux qui prononcent ces mots qui sont le plus fainéants car ils ne donnent aucune solution.
Si on veut que le Français travaille plus, il faut peut-être aussi lui dire pourquoi, pour qui et comment.
Il nous faut arriver à ce que l’on travaille d’une manière souhaitée et non imposée.
Comme travailler d’une manière efficace quand, le matin, au réveil, on se pose la question « vais-je être malade et que va-t-on pouvoir faire pour l’éviter ?».
On peut le dire pour soi et pour ses enfants.
Les Français ne sont pas des fainéants.
Ils subissent les assauts de la vie qui neutralisent, bien souvent, leurs possibilités physiques et intellectuelles.
Personne n’a cherché les causes et encore moins les solutions.
On s’est contenté de soigner après coup.
On n’a jamais évité.
On s’est contenté de médicaments de tous genres pour accroître notre durée de vie.
Je pense qu’en évitant d’avoir à soigner, on prend le bon chemin pour une vie très longue et en pleine forme.
Alors, agissons ! Hygée est probablement l’un des éléments qui ouvrent ce chemin en assurant la régulation des éléments tueurs de la nature.
Rien de plus simple.
Encore fallait-il y penser.
Quel désastre
Le désastre de 700 millions de plus de dettes par jour, c’est près de 10 € par Français !
Nous fermons les yeux face aux causes qui engendrent ce désastre.
On dit : « on verra demain… »
Et demain, il y aura 700 millions de plus de dettes.
La solution, elle existe, sans porter préjudice à la vie de chacun d’entre nous.
Elle consiste à entrer dans un nouveau cycle de vie qui mettra fin à la fatigue, qui mettra fin à notre perte de défense immunitaire, qui mettra fin à la vieillesse et aux grandes maladies.
C’est par la santé que l’on résoudra notre problème et, tant qu’on ne mettra pas la santé en priorité des priorités, on ne parviendra pas à stopper ce désastre.
La médecine n’a jamais essayé de combattre les causes et, tout spécialement, celle de la nature que l’on prend pour une déesse alors qu’elle n’est qu’un bourreau.
Il faut que l’on puisse travailler par plaisir, à l’abri de tous les écueils de la vie.
Ce que je propose n’a rien de miraculeux, ni d’extraordinaire.
Il suffisait d’y penser.
C’est d‘ailleurs ce que me disent les scientifiques à qui je propose ma solution.
La réponse est toujours la même : « on n’y a pas pensé ».
C’est toujours le plus simple qui est le plus difficile à faire appliquer tant l’homme est incrédule.
C’est une lourde tâche ; je m’y suis attelé avec toute une équipe.
Ce sont peut-être les meilleurs vœux que je puisse adresser à tous : vivre longtemps et en pleine forme.
