L’éloignement de nos côtes du Gulf Stream qui faisait des vents d’ouest des vents dominants, provoque aujourd’hui des vents dominants d’est et du nord-est et ce, depuis quelques mois. Et les vents d’est sont, en général très froids et parfois très humides.
Est-ce la conséquence du réchauffement climatique ? Une chose est certaine, les vents ne sont plus les mêmes et les virus adorent les vents froids ; le virus ne se développe que dans le froid.
Il est vrai que nous n’aurons pas la prétention de changer quoi que ce soit au trajet du Gulf Stream mais il nous faudra apprendre à éradiquer tout ce qui vient du froid ou tout ce que provoque le froid et ce, dans des espaces bien déterminés, et ce n’est pas avec des vaccins qu’on y parviendra ou, tout du moins, en nous faisant croire que ce sont des vaccins, ce qui n’est pas évident.
C’est pourquoi je demande que les autorités, qui savent parfaitement que le vaccin ne sera pas suffisant, prennent les dispositions nécessaires pour éradiquer les virus qui semblent d’ailleurs muter sans cesse. Une telle invasion ne peut être arrêtée que par l’éradication.
Il est vrai que la meilleure solution serait de voir plus fréquemment le soleil en été mais cela ne dépend pas de nous …
Alors, prenons les dispositifs que nous connaissons et faisons nôtres ces solutions.
La pire des dépendances
La pire des dépendances de notre pays est celle de la dette et des taux d’intérêts qui pourraient devenir ravageurs. Les prêteurs à la France sont inquiets de ne jamais revoir l’argent de leur travail.
Une dette a des limites, même au niveau d’un état. C’est comme dans une entreprise : quand le découvert devient trop grand, c’est brutalement que la banque vous coupe les vivres, même si vous en êtes client depuis des lustres. On ne peut pas lui reprocher d’agir ainsi, on ne pourra pas empêcher nos prêteurs d’agir de la sorte.
Je tiens à souligner encore que 3 000 milliards de dette avec un taux d’intérêt de 3%, c’est 90 milliards de plus, chaque année. Et on devra payer les intérêts sur les intérêts…
Et redresser la France ne peut pas être l’œuvre d’un seul homme, quel qu’il soit. Ce ne peut qu’être l’œuvre d’une équipe avec l’application révolutionnaire de techniques ou de méthodes dans notre système de santé qui est l’atout majeur de notre économie.
Je demande aux Français, non pas de s’incliner, mais de redresser la tête face à l’évidence. Je demande aux Français et à leurs dirigeants de mettre fin, une fois pour toute, à tous les monopoles et à tous les dispositifs spéculatifs.
Créer la peur, c’est toujours au profit de quelqu’un et non de l’intérêt général.
Ce qui nous manque actuellement, c’est l’envie de faire, d’apprendre et d’agir.
J’ai eu l’occasion de dire que la nature et le pire ennemi de l’homme ; il va nous falloir apprendre à la dompter comme un cheval sauvage ou pur-sang qu’il faut dresser. Nous avons tous les talents nécessaires, dans notre pays, pour y parvenir.
Osez prendre le pouvoir ! La tâche sera difficile mais tellement enrichissante.
