Les paroles prononcées au cours d’un meeting, d’une réunion ou au pied de la tombe du Général, sont souvent des paroles de trahison.
Le Général de Gaulle a mis en place un concept qu’il faut respecter dans son intégralité, parfois en y ajoutant les effets de la mondialisation.
Il a redonné à la France sa grandeur : est-ce que les candidats d’aujourd’hui, qui se présentent à la présidence de la République et qui se vantent de la stature du Général, ont la qualité pour appliquer son concept ? J’en doute.
Trop souvent ils sont hantés par l’argent et, pour quelques-uns, au détriment du peuple. On a oublié de mettre l’homme au centre de tout. Aujourd’hui l’argent guide la mondialisation et détruit l’homme. Aujourd’hui, la mondialisation c’est l’œuvre du plus fort au détriment du génie de l’homme.
La mondialisation, comme l’argent, ne doivent être que des outils à la disposition de l’homme.
La mondialisation écrase l’Europe qui est incapable, à ce jour, d’uniformiser les pouvoirs d’achat de ses différents adhérents. En fait, le coût du travail engendre des prix excessifs par un système qu’avait créé le Général de Gaulle et qu’il faut adapter aux conséquences de la mondialisation.
Les gaullistes de tout bord, de gauche, du centre et évidemment de droite, doivent s’unir pour poursuivre le combat qui a donné à la France sa grandeur.
Je sais qu’on va me dire : ne touchez au social. Mais il n’est pas question de réduire le social ; il ne doit toutefois pas pesé sur le coût du travail. Il faut le transférer sur le budget de l’Etat, ce qui permettra d’avoir des prix compétitifs pour exporter massivement et aussi d’accroître le pouvoir d’achat de tous par une réduction massive de 20% sur tous les produits et de 25% sur les services.
Tous ceux qui nous promettent monts et merveilles devraient se contenter d’appliquer le concept gaulliste.
A vouloir tout faire, on ne fera rien alors que le concept gaulliste englobe par lui-même la totalité du bien-être de l’homme et redonnera à la France sa grandeur, son excellence, par les chemins qui conduisent à la paix.
Pour être un jour un grand
Pour être un jour un grand, il faut déjà être un petit agissant avec un charisme débordant.
Il faut que l’outil argent que l’on utilise soit le sien et éventuellement celui de tous les Français. Ce n’est pas en distribuant, d’une manière inconsidérée, de l’argent pour acheter les électeurs que l’on résoudra ce problème. On n’aboutira qu’à accroître les déficits et surtout la dette.
Le petit devient grand par la confiance, par son travail acharné, par des concepts puissants au service du plus grand nombre. Il pourra demeurer un grand le jour où il osera prendre le risque, parfois de déplaire, mais toujours dans l’intérêt général.
On n’est jamais très grand seul. Mais attention, nombreux sont ceux qui s’approchent pour profiter ou pour trahir et qui éventuellement veulent être roi à la place du roi.