À présent, c‘est une course contre la montre pour la vie et pour l’économie.
Il y a deux solutions :
- soit on accepte mon plan de réacteur sanitaire qui mettra hors course les virus et les cancers d’une manière tout à fait naturelle, et la France repart
- soit on préfère la solution des scientifiques qui est de vivre avec les virus et les cancers, et nous mettrons des années à nous relever, sous réserve encore que d’autres virus n’apparaissent pas.
En un mot, c’est l’avenir tout de suite pour tous ou l’esclavage pendant x années dans des conditions désastreuses et avec un pouvoir d’achat catastrophique.
C’est aussi le risque de voir l’économie occidentale se coucher face à l’économie de l’Orient.
Choisissez, Monsieur le Président : il ne s’agit plus de tenir et de tenir encore. Il faut gagner la bataille contre les dérives de la nature qui a laissé s’échapper leurs mercenaires.
Un confinement, quand la douceur revient temporairement ne servira à rien. Le soleil et la chaleur, même artificiels, seront toujours plus forts que tous les confinements. Conservez cette solution en attente d’une nouvelle vague de froid car l’hiver n’est pas fini.
Et tout ceci ne vous empêche pas d’utiliser les ultraviolets dans tous les lieux réfrigérés et là où le soleil de paraît pas. Vous aurez beau faire confinement sur confinement, si nous ne détruisons pas le virus, il faudra attendre Mathusalem pour arriver à vivre un jour, peut-être.
Les cancers, comme les virus, sont partout dans le monde. C’est normal car il s’agit des effets des dérives de la pression atmosphérique.
Pour exemple, tous ceux qui vivent en altitude sont protégés à 80%.
On ne sait pas exactement d’où sort le virus. Il n’est pas exclu qu’il ressorte des glaciers qui fondent à longueur de journée face au réchauffement climatique.
Monsieur le Président, ce que je propose n’a rien à voir avec le médical tel qu’on le connaît. Ce n’est pas non plus une solution de charlatan, c’est celle du bon sens. Ce n’est plus de la médecine, c’est en fait de la physique. Nous ne connaissons pas encore très bien tous les phénomènes physiques ; on les a souvent oubliés.
La biologie, la chimie, rapportent beaucoup plus que l’évidence de la physique mais seule, la physique résoudra notre problème, tant celui des virus que des cancers.