A une inflation galopante, il faut opposer une déflation efficace. Face à une inflation galopante, vont se présenter des taux d’intérêts bancaires au moins égaux à l’inflation. En 2021, l’inflation, en France, sera proche de 6%.
Pour compenser l’inflation, il résultera l’obligation d’accroître la production, le pouvoir d’achat et les exportations qui nécessitent la compétitivité. Et tout ceci ne pourra se faire que par un transfert des charges salariales sur le budget de l’État.
J’ai démontré que tout ceci pouvait se faire sans augmentation d’impôts et je dirai même que l’on parviendra à commencer à réduire la dette, ce qui ne pourra se faire, toutefois, que sur 30 ans.
Aujourd’hui, on fabrique des billets de banque qui risquent de s’enflammer dès la tourmente du réchauffement climatique. Il nous faut avoir le courage de résoudre :
- nos difficultés sanitaires qui engendrent la peur
- le problème du réchauffement climatique par la réduction des déserts qui sont déjà à nos frontières du sud
- le système d’exportation en le modifiant par la réforme de nos ambassades et de nos consulats qui devront devenir simultanément des lieux de commerce et de politique économique
- le problème de notre immigration et ce, pendant dix ans
- le développement des économies des pays limitrophes au désert afin de leur donner ainsi qu’à leurs habitants, l’envie de rester chez eux
- le problème social des Etats musulmans islamistes afin que la femme ait sa place dans la société, dans l’économie, faute de quoi ils ne parviendront pas à une compétitivité indispensable.
Débat Zemmour – Mélanchon
Excellent débat mais sans cause et sans solution des problèmes que nous avons. C’est dommage.
On a parlé du réchauffement climatique en balayant d’un revers de main les solutions qui sont nécessaires. On n’a même pas osé parler des causes du réchauffement climatique qui provient de l’avancée des déserts.
Pour les pays musulmans, on a oublié de parler des différences fondamentales qui existent entre Sunnites et Shiites. Ils sont sur des voies différentes et tous dans une civilisation différente de la nôtre, et ces civilisations ne peuvent pas s’entendre.
Le nucléaire, qui a été un des objets du débat, n’y a pas trouvé de solution. Tous deux, Monsieur Mélanchon et Monsieur Zemmour, n’ont pas la même vision de la production d’énergie. Pour l’un, c’est le développement d’une production intermittente telles que les éoliennes et les panneaux solaires, pour l’autre c’est celui de l’énergie nucléaire.
Toutefois, aucun des deux n’a parlé du coût du KW, dans un cas comme dans l’autre. Aucun des deux n’a parlé des possibilités de stockage de l’énergie, ce qui malheureusement n’existe pas. Car l’énergie éolienne et les panneaux solaires, sans possibilité de stockage : c’est du fantasme.
De même l’énergie nucléaire telle qu’elle est conçue actuellement, ne peut satisfaire, ni les écologistes, ni les consommateurs, en raison des déperditions massives lors du transfert de l’énergie vers le consommateur.
La seule solution crédible est, dans un premier temps, de construire des minicentrales proches des lieux de consommation. Et la solution définitive de la production d’énergie viendra avec la production de chacun de sa propre consommation par des microcentrales qui ne dépasseront pas 1 M3 en volume.
On a abordé, lors de ce face à face, les problèmes qui concernent la vie de chacun. On a oublié de dire qu’il n’y a pas de bonne économie sans une bonne santé. On a oublié de dire que les cancers et les virus représentent plus de 50% des dépenses du social.
Aura-t-on le courage, un jour, de donner des solutions qui existent de vivre en pleine forme depuis la naissance jusqu’à la mort, qui sera alors proche des 120 ans ?
En un mot : un débat pour rien ou pour si peu. C’est d’autant plus navrant que les solutions existent. Soit, ils n’en ont pas connaissance, soit ils vivent dans le passé. Et pourtant, qu’attendent les Français ? :
- avoir un bon pouvoir d’achat
- ne plus être malade
- vivre en pleine forme sans fatigue et sans les affres de la vieillesse.
Et si l’on demandait de préparer les solutions du futur
Le passé ne peut être qu’un outil du futur qui peut servir. Le futur, c’est la vie de nos enfants. Le futur est sous nos pieds : c’est la nature qui nous donnera ce qui est bon et ce qui mauvais.
Bien sûr, on ne connaît pas tout encore du futur mais l’on sait ce qu’il faut faire pour l’affronter. Il est vrai que les solutions que je propose sont ambitieuses mais il nous suffit de les développer et de les appliquer. On ne pourra pas longtemps tricher avec l’évidence ; les mensonges perpétuels, qui aujourd’hui nous sont proposés, ne sont pas à la hauteur, ni du présent, ni du futur.
Il est parfois difficile de voir ce que l’on ne voit pas et d’utiliser l’invisible qui est mille fois plus puissant que tous les outils et tous les produits que nous utilisons, à ce jour.
Pourtant, on nous a appris à l’école qu’il est difficile d’opposer une constante à une variable. La constante, ce sont les vaccins qu’on veut bien nous donner, la variable, c’est celle qu’il faut neutraliser ou réguler. Comment l’apprendre à nos enfants avec des professeurs qui ne vivent que dans le passé ?
Le bon sens est la qualité essentielle qu’il faut développer car il conduit à l’évidence. C’est ce qu’il faut apprendre aux enfants et leur en donner l’envie.