En France, comme ailleurs, plus rien ne sera jamais possible si on ne met pas la santé en priorité de toutes les autres priorités.
Notre vie est en danger, non pas par la guerre ou par le nucléaire, mais simplement par la nature qui s’attaque à l’homme depuis des millénaires.
Aujourd’hui, nous sommes arrivés à un point de rupture où l’on dépense plus d’argent pour soigner que pour vivre.
Personne n’avait osé, à ce jour, mettre en cause les variations des pressions atmosphériques de la nature. Il en est de même des flux magnétiques que l’homme a bouleversé en ajoutant ses propres flux magnétiques par l’industrialisation.
La vie n’est pas protégée et rien n’est fait, tant du point de vue matériel que du point de vue de la santé pour éviter que la nature ne nous tue.
Aujourd’hui, on vit 83 ans en moyenne. En évitant les variations de la nature, on pourra vivre deux à trois fois plus longtemps et en pleine forme.
Nous savons, à présent, réguler les pressions atmosphériques dans nos espaces de vie. Nous savons aussi réguler les variations des flux magnétiques que nous augmentons tous les jours par une mondialisation non contrôlée.
Toutes ces variations annihilent les constantes qui sont les piliers de notre vie.
Il nous faut consacrer quelques milliards pour économiser quelques centaines de milliards que coûte aujourd’hui le fait d’avoir à soigner.
Le monde entier est à la recherche d’argent mais que fait-il pour les économiser ? Il laisse l’homme à l’abandon aux prises avec les éléments naturels.
La nature et porteuse de mort même si elle nous prête, durant quelque temps, l’oxygène nécessaire.
Quels que soient les gouvernements que nous aurons, ils n’ont aucune chance d’apporter la solution tant qu’ils n’auront pas pris en compte la santé comme priorité des priorités.
Ce n’est pas le travail qui ne paie plus
Ce sont les charges imposées sur le travail qui font que 40% de notre fiche de paie servent à payer ce que l’on pourrait supprimer.
Pour cela, il faut vouloir éviter pour ne plus avoir à soigner. Ce sont les maladies qui sont en cause, c’est la vieillesse qui est en cause.
Va-t-on avoir le courage de remettre notre vie sur le bon chemin ?
Le monde médical a échoué. Il faut donc trouver une autre solution pour que le travail paie et que l’homme puisse vivre avec un autre pouvoir d’achat, beaucoup plus longtemps et en pleine forme.
Il y a cent ans, cela n’était pas possible mais les techniques d’aujourd’hui le permettent. A nous de les adapter et de les utiliser pour que la nature ne puisse plus nous détruire.
Aujourd’hui, on gaspille 40% de notre travail pour payer les dégâts occasionnés par la nature. Il faut rayer de la carte tout ce qui coûte de l’argent inutilement et durablement, y compris pour la vieillesse.
Je sais, je ne suis pas médecin. Mais il n’est pas besoin d’être médecin pour se rendre compte que notre vie est en danger permanent et qu’on l’amène dans le mur.
Les gouvernements se tortillent à trouver de l’argent. On mégote pour un an ou deux ans de plus ou de moins.
La solution que je propose modifiera totalement la durée de vie et, par conséquent, de notre retraite. Il faudra s’y adapter. C’est une révolution sociale et économique.
Pour cela, il faut déjà que les politiques comprennent qu’ils n’ont pas le choix. Ceux qui osent me dire que cela n’est pas possible, qu’ils me le prouvent.
Ma solution est tellement évidente qu’elle se présente comme étant la seule solution immédiate et non pour demain.
