C’est à peine 150 km de longueur et 60 de largeur, en moyenne, un cap naturel de l’Ukraine en mer d’Azov mais donnant aussi accès à la mer Noire pour tout le sud de l’Ukraine.
Il semble que la Crimée appartienne tout naturellement à l’Ukraine, c’est, tout du moins, d’une logique totale ; le bon sens finira par triompher. La Crimée est bien loin de la Russie, elle n’y a aucune attache naturelle.
Toutefois, la Crimée permet d’avoir un contrôle important sur la mer Noire et sur le commerce qui y transite. C’est un pays de cocagne où l’intelligentsia russe venait passer ses vacances.
C’est aussi une ouverture sur le monde libre et sur la Méditerranée.
Il ne s’agit pas d’une usurpation de la part de l’Ukraine, elle y est rattachée même si la Crimée est peuplée majoritairement de Russes.
L’Ukraine se doit de reprendre la Crimée : la Russie n’a rien à y faire si ce n’est que pour avoir une position stratégique en mer Noire.
La Crimée fait partie de l’Europe libre, au même titre que l’Ukraine.
L’IA et nos neurones
Nous n’utilisons qu’à peine 10% de la capacité de nos neurones. L’Intelligence Artificielle compense ce défaut d’utilisation. Elle peut avoir des conséquences non maîtrisables et parfois dangereuses.
Je propose qu’on utilise nos neurones à 100%, soit 10 fois plus qu’aujourd’hui.
Nos neurones ne supportent pas de manquer d’oxygène. Pourquoi ne pas chercher la cause pour éviter les ruptures possibles de leur alimentation en oxygène par le sang ?
Il ne s’agit pas de fabriquer des surhommes mais simplement d’utiliser la totalité de nos capacités.
Rien n’empêchera d’ailleurs de continuer à utiliser l’IA mais rien ne doit empêcher nos neurones d’être utilisés à 100%. Il s’agit, en fait, d’empêcher la nature de nuire à notre circulation sanguine.
C’est tout l’objet de notre petite découverte qui, par sa technologie, évitera toute rupture désastreuse.