Pendant les 6 premiers mois de cette année, la France n’a enregistré que 360 000 naissances. C‘est 40 000 enfants de moins que dans les années 2000. C’est 80 000 enfants en moins par an.
L’incidence sur la consommation ne va pas tarder à se faire ressentir.
Plus grave encore, ce sont ces enfants-là qui paieront notre retraite. Comment fera-t-on ? Quelles qu’en soient les raisons : les conséquences sont là.
On ne forcera jamais les Françaises à faire des enfants. Mais, en revanche, on peut faire des enfants qui vont vivre beaucoup plus longtemps et en pleine forme, toute leur vie.
Pourquoi ne pas s’y prendre dès maintenant avec le régulateur des constantes des pressions atmosphériques, des flux magnétiques et du rayonnement solaire ?
Tout cela, nous savons le faire, pour nos enfants, certes, mais aussi pour nous et pour nos parents.
Moins d’enfants, plus de durée de vie et en pleine forme, me semble être une solution économique et de bien-être.
Réduire, dans les 10 à 15 ans à venir, le nombre de décès en France, de 600 000 à 300 000, chaque année, me paraît être une solution peu coûteuse, plus efficace,
Il faudra, pour ce faire, créer et installer, 20 millions de régulateur en France. Cela peut paraître beaucoup mais c’est deux fois moins que les réfrigérateurs.
Dans le monde entier, il faudra 3 milliards de régulateurs car le problème des variations de pressions atmosphériques est le même partout hormis dans les 6 ou 7 zones bleues où les variations sont très faibles.
Bref, moins d’enfants, pour une durée de vie deux à trois fois supérieure.
Ô, je ne suis pas naïf, on va tout faire pour que cela ne se réalise pas. Sachez, Messieurs, que la vie n’a pas de limite d’espérance.
Pour cela, il faudra comprendre que la nature est une grande amie mais aussi une ennemie redoutable.
La France veut vivre. A toute chose, il y a deux extrémités. Faisons en sorte que la France puisse avoir 100 millions d’habitants d’ici 50 ans et ce, quel que soit le nombre de naissances.
Résoudre simultanément
Les problèmes :
- de notre souffle
- de notre fatigue
- de notre durée de vie
- de notre défense immunitaire
- de la survie de nos cellules
- de notre capacité visuelle, auditive, mémorielle
- de notre dextérité,
- de la conservation de la souplesse
- de notre endurance
- de la perte de la jeunesse
- de la vieillesse
- de toutes les maladies infectieuses
- de l’affaiblissement de nos organes producteurs.
C’est peut-être beaucoup pour un seul homme, pour une seule mission, hors du corps humain et, mieux encore, sans effet secondaire.
Mettre fin aux causes, réguler la nature dans nos espaces de vie, c’est simple, c’est beaucoup, mais il fallait y penser et construire les techniques nécessaires avec les technologies nouvelles.
Je sais, c’est peut-être trop pour ne pas y émettre quelque doute pour tous ceux qui regrettent de ne pas y avoir penser plus tôt.
