Jamais un pays en guerre, comme l’Ukraine, n’aura été autant aidé, un peu tardivement certes, mais l’aide est bien là : aide financière et aide matérielle.
Les Russes lui font la guerre mais ce sont les Russes qui paient la guerre avec les 1 000 milliards de dépôts russes saisis par l’Occident.
Ce sont plus de 50 pays qui se sont alliés à l’Ukraine pour repousser l’assaillant et pour en finir avec un régime russe où la liberté est factice.
Monsieur Poutine a joué au grand seigneur en se disant à la tête d’un grand pays qui, aujourd’hui, est obligé de s’adresser à de petits pays pour se fournir en armes et munitions.
La Russie est, certes, un grand pays en surface, mais beaucoup trop grand pour un petit homme tel que Poutine. Pour Poutine, la vie n’est vraiment pas d’actualité. La morale, la valeur humaine, sont au second rang dans ce pays.
Ce qui m’étonne, c’est que l’Eglise orthodoxe puisse bénir cette guerre. Poutine, dans sa chute, entraînera l’Eglise orthodoxe mais aussi la Corée du Nord et l’Iran.
La liberté triomphera pour l’Ukraine.
Pendant ce temps, la France écorne son image financière. Il va bien falloir trouver la solution pour sortir de l’ornière.
Ce sera en considérant la vie comme notre atout majeur. Défendons-là avec autant de force que nous mettons pour défendre la liberté.
Pour qui un régulateur ?
Pour tous, dès notre conception.
Les variations de pressions atmosphériques peuvent remettre en cause notre futur. Elles peuvent détruire partiellement notre cerveau, nos neurones, et peut-être notre capacité à une intelligence plus ou moins développée.
Tout commence à la source et à la manière dont on sera exposé face aux forces invisibles de la nature.
La transmission de l’intelligence ne provient pas nécessairement des géniteurs. L’intelligence, c’est d‘abord la protection de nos neurones dont nous n’utilisons qu’à peine 10%.
Cela ouvre la voie à une gestion de notre vie.
Nous arrivons dans un monde où l’on nous impose de vivre ou plutôt de survivre. Rien, dans ce monde, n’a été fait pour vaincre les forces invisibles.
Nous n’avons pas cherché à y apporter de solution alors même que notre vie ne dépend que de la maintenance des constantes qui en sont les piliers.
Il est donc urgent d’imposer le dispositif technologique qui permettra de réguler ces constantes.
